Les étés de Charlotte Ch. 03 - Histoires de Sexe

Les étés de Charlotte Ch. 03

... très certainement par un mesquin esprit de vengeance, un zizi ridicule, une biroute de nouveau-né, une bistouquette bas de gamme pas plus grosse qu'une saucisse cocktail sans son feuilleté encadrée par deux noyaux de cerise. Mais au contraire il est plutôt bien équipé ce dégénéré du ciboulot. On est certes encore loin de l'outil de travail de Rocco Siffredi, mais on est quand même bien au-delà de la moyenne nationale. Elle est, en plus, accompagnée par deux monticules de compétition extrêmement poilus.

Lorsqu'il dirige son vit vers ma figure, je ne peux empêcher un mouvement de recul. Sa main gauche vient alors prendre possession de ma tête alors que sa droite m'afflige quelques petites claques pour me rappeler les risques pris à la moindre rébellion. Le message est bien passé. L'homme a la patience avoisinant le zéro absolu et une grande tendance à donner des baffes plus vite que son ombre !

Je me résigne au contact de ce gland qui vient prendre possession de ma figure sans avoir demandé la moindre autorisation. J'aurai aimer lui rappeler les bases de la civilité, mais mon bâillon culotte ne m'autorise que quelques sons gutturaux en guise de protestation. Ma partition clito en folie l'a terriblement excité et il me fait profiter de son important surplus de lubrifiant naturel en baladant son mandrin sur tout mon visage.

Je ferme les yeux et le laisse découvrir les contours de ma belle frimousse. Cette balade en pays inconnu tout chibre dehors n'aurait certainement ...

... pas beaucoup de succès au format Wonderbox, ni au programme des prochaines virées de Frédéric Lopez ! Ici elle semble lui plaire, car il s'attarde dans le moindre recoin de mon faciès pour y laisser, comme un vulgaire bâtard de bas quartier, les effluves de son odeur intime. Il marque son territoire !

Le voyage est long et pénible. En particulier lorsqu'il offre son gland à mes lèvres. Heureusement ma bouche est déjà remplie par mon shorty, je ne risque pas d'intrusion malsaine. De temps en temps j'ai aussi le déplaisir de découvrir que sa paire de roubignoles fait aussi partie de l'expédition ! Cela me semble interminable.

Je comprends, lorsque je sens au contact de mon front un liquide chaud et visqueux, que l'excursion touche à sa fin et qu'il vient de prendre mon visage comme piste d'atterrissage pour ses commandos de spermatozoïdes. L'envahisseur est en nombre et commence à couler généreusement sur ma figure. En homme consciencieux il prend le temps avec son chibre d'étaler son flot de semence sur l'ensemble de mon minois pour former un masque de nuit aux odeurs écœurantes.

Lorsque je rouvre les yeux, son sexe vibre toujours à quelques centimètres seulement de mon nez. Mon œil droit est grandement obstrué par des filets de foutre pendus à mes sourcils. Il continue de jouer et rattrape au passage les quelques filets qui tentent de s'échapper au niveau de mon menton pour venir les offrir à mes lèvres pulpeuses ou encore à mes narines. Beurkkk.

Satisfait par son ...