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Les étés de Charlotte Ch. 03
Datte: 15/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: cinolas, Source: Literotica
... question, je reste un peu en plan. Devant mon omerta affichée, il glisse sa main vers mon entre jambes, récolte au passage un peu de précieux lubrifiant et s'enfonce entre mes fesses pour venir titiller ma corolle. - Cela pourrait peut-être rentrer dans la négociation? demande-t-il. - Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, lui criai-je comme une folle à en faire exploser ses tympans. Il est sorti tout seul celui-là, franco de port. Je donne un coup de bassin pour échapper à son doigt téméraire et lui faire comprendre que l'entrée des artistes est formellement interdite à tout individu, qu'il soit cagoulé ou non. Je ne suis pas une adoratrice du côté sombre de la force. Je lui propose, pour détourner ses attentions sodomites, de me baiser, un compromis qui, même si cela ne m'enchante pas, pourra faire d'une pierre deux coups en accordant à chacun le plaisir recherché. - Dommage, me dit-il sans attraper ma proposition au vol et en récupérant sa main pour aller agacer mon téton droit, j'aime quand une pute accepte de faire évoluer ses pratiques et de se dépasser. Je ne réagis pas à l'insulte, je lui cracherai à la figure plus tard. Il est de toute façon trop tard, après être retourné à la source, mon shorty encombre de nouveau ma bavarde. Point positif (?) je n'ai pas changé de goût ! Au bout de la deuxième heure, après être restée ferme sur mes positions lors de la troisième pause, je suis au bord de la crise de nerfs. Je n'arrive plus vraiment à me contrôler et donne ...
... des coups de bassin à chaque passage du plumeau pour tenter de capter son attention quelques secondes supplémentaire. Car il n'en faudrait vraiment pas beaucoup pour arriver à enfin prendre mon pied. Je ne lui demande pourtant pas grand-chose, quinze secondes, voir même dix seulement, aller dix secondes d'une attention bien plus soutenue me permettrait de me soulager et de lâcher prise. "Alors pour un instant, pour un instant seulement" réclamait Brel chez "Ces gens-là" ... je m'associe pleinement à sa requête, donnez-moi cet instantttttt ! Si le jeu de la frustration de l'après-midi pouvait être excitant, celui de ce soir est une véritable torture mentale et là je sens, dans tous les sens du terme, que je suis à deux doigts de craquer totalement. Je suis sur la sellette depuis midi, dévastée par ce baume pernicieux qui a fait un bras d'honneur à la censure de mon cerveau et a mis mon corps dans un état indescriptible. Baisez-moi, fick mich, fuck me, baciatemi, bésame, csókolj meg, kus mij, beija-me, polib mě, il faut que je le lui dise en quelle langue pour ce bâtard se décide enfin à venir fourrer son outil de travail dans ma boîte à ouvrage? Désolé pour cette vulgarité déplacée, mais j'ai l'abricot sens dessus dessous, la cramouille enflammée, le berlingot proche de la folie, la craquette plus dégoulinante que les chutes du Niagara et la foufoune en chaleur ! Je n'avais encore jamais mis de sens à cette dernière expression "être en chaleur", la pensant plus ...