Emprise - Histoire de Laura Ch. 10 - Histoires de Sexe

Emprise - Histoire de Laura Ch. 10

... notaire qui finit par se lever. Il s branle doucement. Sima s'est agenouillée et, entre mes jambes, elle joue avec les replis de mon sexe. Elle a bien appris la salope! Je ruisselle déjà dans sa bouche aux lèvres charnues.

Je vois que Martial observe nos petits culs. Chun se penche sous moi pour branler mon clitoris. Elle a bien remarqué que j'bandais. De son côté, Sima arrête de me lécher la chatte. La grande black rejoint Martial qui admire Chun qui me branle. Sa queue s'allonge sous la caresse de la jeune femme qui utilise ses deux mains pour la tenir. Sima, nue au milieu de vaste pièce, à côté de son maitre, elle s'agenouille en croisant ses bras dans le dos.

- Branle-moi, salope!

Tout comme sa consœur qui me branle de plus en plus vite, l'éthiopienne branle Martial avec amplitude. La chinoise me sent très excitée. Elle se penche pour atteindre l'extrémité de mon sexe et embrasse ma vulve. Je gémis

- Suce-moi, salope, lance Martial Bascoul.

Sima pénètre le bout du pénis gonflé et l'enfonce entre ses lèvres. Est-ce par télépathie ou par les nombreuses heures d'entraînement sexuel ensemble, mais Chun suce ...

... au même rythme mon bouton qui est sorti du capuchon.

Debout, Martial admire le cunni de l'asiatique et apprécie la fellation qu'on lui prodigue. Je sais que le maitre a l'habitude de baisé avec trois femelles. Sa belle-fille et ses deux petites-filles jumelles. La perversité est son énergie.

C'est moi qui défaille en premier. C'est une vraie beauté cette Chun. Et elle suce comme une déesse. J'éclate puissamment sur le visage de la chinoise. Martial Bascoul a prit les cheveux crépus de Sima et s'enfonce tout au fond de la gorge pour lâcher son jus de plaisir épais et abondant.

Après m'être rhabillée, alors que Martial profite encore de la plastique parfaite des deux prétendantes, je note. J'approuve. J'valide. J'suis la garante de leur conformité. Mais dans ma tête, c'est le chaos. Y'a un cri qui hurle sans fin dans ma gorge. J'me déteste. Chaque mot que je prononce me donne envie de m'arracher la langue. Mais si je flanche, elles prennent. Et Linh avec. Alors j'continue.

Mais chaque jour, chaque séance, j'me rapproche de la limite. J'le sens. Un jour, ça va péter. Et quand ça pétera, y'aura pas de retour possible.