Emprise - Histoire de Laura Ch. 10 - Histoires de Sexe

Emprise - Histoire de Laura Ch. 10

... d'industrie.

Chun est arrivée la dernière. Chinoise, toute petite, délicate, presque effacée. 21 ans. Un fantôme fragile. Yeux baissés, pas hésitants, mains croisées devant elle comme une poupée de porcelaine qu'on ose pas toucher. Exactement ce qu'ils veulent.

Elles se sont alignées. Muettes. Parfaites. Je me suis tournée vers la table.

-- Voici trois de nos prétendantes en cours de finalisation. Elles sont éduquées, disciplinées, disponibles. Elles feront tout ce que vous voulez. Chacune a suivi un programme spécifique, adapté à vos exigences. Vous pouvez les observer, leur poser des questions...

Le vieux porc a claqué de la langue.

-- Elles sont magnifiques, madame Mucadam. Vraiment. C'est du très bon travail.

J'ai souri. Le genre de sourire qui cache l'envie de tout faire exploser. Évidemment, l'orgie a commencé. Le politiquard a demandé à Chun de se déshabiller. La petite a délicatement retiré chaque vêtement avec une extrême lenteur qui excita les 7 hommes. Une fois nue, ils l'ont mise debout sur la table pour qu'elle tourne sur elle-même afin qu'ils détaillent la marchandise. Comme moi, la petite asiatique n'avait pas un cul formidable mais la finesse de son corps et la candeur qui se dégageait d'elle excitèrent les hommes. Allongée sur la table de réunion, ils ont commencé à enlever leur pantalon et à la prendre comme ça, sans subtilité. L'un après l'autre, ils l'ont baisé comme une vulgaire pute de bordel alors qu'elle était certes une soumise ...

... mais quand même, rafinée. Non! Ils l'ont piochée comme des porcs.

C'est Astrid qui suçait les bites. La grande blonde norvégienne, à genoux sur la moquette de la vaste salle, acceptait les queues les unes après les autres. Des petites essentiellement. Même pas complètement dures. Mais des bites qui voulaient posséder sa grande bouche de scandinave.

A côté, Sima grommelait sans oser se plaindre. Le politiquard ventripotent, bouffait son cul. Il avait écarté les deux magnifiques globes fessiers de l'éthiopienne. Son visage planté entre les fesses, je le regardais manger littéralement le derrière de la magnifique prétendante qui se faisait traire ses mamelles pendantes sous son corps à quatre pattes.

Je regardais sans rien dire. Ça hurlait dans ma tête. J'espérais qu'aucune n'eut l'idée de me tester également. Mais non, ils baisèrent les trois filles.

Je suis repartie juste après la « présentation ». Encore maquillée, encore coiffée, encore déguisée en femme respectable. J'étais pas terrible. A l'Uber Sex, dans le couloir qui mène au donjon, tout ça tombe. Chaque pas me rappelle où je suis. Pourquoi je suis là. Pour qui je tiens. La porte métallique s'ouvre dans un grincement sourd. L'humidité me colle à la peau dès l'entrée. Odeur de pierre froide, de sueur rance, de solitude. Odeur familière qui me rapproche de mon amour. Et au fond, dans cette pièce minuscule à peine éclairée par une ampoule pendue au plafond, il y a elle. Linh. Ma mère.

Assise nue sur un vieux ...