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Emprise - Histoire de Laura Ch. 10
Datte: 07/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: APVapv, Source: Literotica
... combien. Des heures à rester nue, exposée, à écouter des ordres, à répéter des phrases absurdes jusqu'à ce que mon cerveau arrête de résister. La peur, la fatigue, les privations. Le froid. La faim. La honte. Et au milieu de tout ça, Aïké ( Emrpise -- Histoire d'Aïké). Belle black, chauve comme un mirage, glaciale comme la mort. C'est une soumise de la Confrérie mais toujours là pour corriger ma posture, guider mes gestes, souffler à l'oreille ce qu'il fallait dire. Une soumise modèle. Une traîtresse à son propre genre. Un monstre en dentelle. Mais putain, un monstre d'une beauté envoûtante. Un monstre capable de me faire mouiller dès qu'elle posait son regard de braise sur mon corps nu. Une black qui me doigtait à me faire pleurer la chatte. Et puis y'a eu Moussa ( Emprise sur la ville -- Acte 1 ). J'me souviens encore du cuir craquant de son fauteuil, de l'odeur d'encre et de sueur. Dans sa boutique de tattoo, près du lycée de la ville, il m'a pas parlé. Il m'a juste mise à poil, coincé ma peau, et tatoué. Le numéro s-133. Ma référence. Mon putain de matricule. Gravé pour toujours dans le bas de mon dos et sur mon poignet. Un bout de moi qui dit à haute voix : "propriété de la Confrérie". Mais ce n'est pas le marquage comme une vache qui m'a le plus fait souffrir. Non. C'est le paiement. Jacques m'avait sodomisée un bon nombre de fois. Mais on est toujours vierge du cul tant que Moussa ne vous a pas éclaté le fion. Quand le grand black m'annonça qu'il allait se ...
... payer en me sodomisant, j'ai pas trop bronché. Mais quand son pantalon et son caleçon furent baissés, j'ai voulu me plaindre et le supplier de ne pas me prendre le cul. Le salaud a un serpent long et épais entre les jambes. - Sois une bonne soumise, me dit-il avec son rire goguenanrd. Fais pas chier sinon je vais te balancer à poil dehors... Mon anus fouillé par les doigts du tatoueur, s'élargit. Un sentiment d'écœurement gagnait ma gorge. Une peur viscérale m'étranglait malgré mon entraînement. Je sentis de la chair sur son petit anus et doucement ça poussait, doucement ça s'ouvrait, doucement ça entrait. Au fur et à mesure, un sentiment de déchirure interne m'affolait. Il allait me fissurer ce con. Puis, je fus transportée dans un monde à part, un monde de souffrance extrême. Mais des îlots de plaisir émergeaient ça et là. Des petits orgasmes que j'contrôlais pas. Tellement j'étais avilie, tellement ma douleur était insupportable, que j'contrôlais plus rien. Après qu'il se soit vidé dans mes intestins, il a balancé : - Alors s-133. Heureuse? - Je euh.... Dis-je en portant ma main sur mon petit cul douloureux. - Regarde salope. J'ai mis ta photo à ma collection de tatoués. Je contemplai l'armoire ouverte où, à chaque numéro, correspondait une photo de soumise et une petite culotte. J'vis mon cliché au numéro 133 avec ma culotte. J'le savais pourtant, mais j'étais effarée du nombre de femmes et de quelques hommes sur ce tableau. Quand je tombai sur la photo ...