Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18 - Histoires de Sexe

Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18

... frotter son bas-ventre sur le sein gauche toujours garrotté et utilisa le téton dardé pour agacer son propre clitoris. En compressant la pointe du sein, elle finit par la faire pénétrer en elle et se branla dessus avec frénésie sans perdre de vue le visage ravagé de larmes de Luise.

Elle faillit jouir tout de suite mais se contint, ralentit le rythme de sa masturbation jusqu'à un arrêt complet puis la reprit plus lentement mais elle sentait trop de picotements annonciateurs dans tout son corps et finit par capituler. Elle jouit comme une folle, inondant le sein coincé dans son entrejambes avant de l'écraser sous son poids lorsqu'elle s'écroula sur celle qu'elle avait transformée en jouet sexuel.

Lorsqu'elle reprit ses esprits, Catherine entreprit de libérer Luise de tous ses liens puis lui passa un linge humide sur le visage pour la ramener à elle. Luise se roula en position foetale, sa tête venant reposer sur les genoux de sa dominatrice.

« Maîtresse, vous n'êtes pas Anglaise n'est-ce pas? » furent ses premiers mots.

Elle n'hésita pas.

« Non, je suis Française mais ton Maître et moi ne voulons pas que cela se sache donc je t'ordonne de ne jamais révéler à qui que ce soit ma véritable identité. Surtout à ton mari. Tu lui seras soumise en tout sauf en ce qui nous concerne le Maître et moi. Par contre, nous attendons que tu nous écrives régulièrement pour nous faire part de tout ce qu'il dira ou fera, comme une amie peut raconter la vie de sa famille. »

« ...

... Oui Maîtresse, j'obéirai. »

« Alors allons nous débarbouiller. Ah oui, une dernière chose, tant que vous serez pas mariés, il vaut mieux que tu ne laisses pas Max prendre son plaisir dans ton vagin. Offre-lui ta bouche ou mieux, ton cul de Comtesse ! »

Lorsque Gauthier et Max revinrent à l'ambassade, les deux femmes les attendaient sagement dans un des salons privés. Maquillages refaits, rien n'aurait pu laisser supposer l'abîme de stupre dans lequel elles s'étaient roulées quelques heures plus tôt même si Gauthier, avec sa redoutable expérience de la gent féminine décela des cernes suspects sous les yeux de la Gräfin qui ne semblaient pas être dus au manque de sommeil.

Très guilleret, Maximilian prétexta une réunion de travail avec l'ambassadeur pour éconduire ses hôtes mais à la façon dont il enlaçait Luise, Catherine se douta que la réunion était imaginaire et que la jeune femme n'avait pas fini d'être abusée sexuellement aujourd'hui.

Dans la calèche qui les ramenait aux bureaux de leur compagnie, elle écouta d'abord le récit que Gauthier fit de la demi-réussite - ou du demi-échec selon le point de vue- de leur intervention avant qu'elle lui raconte à son tour ses turpitudes de la matinée.

« En bref, j'ai terminé l'endoctrinement de ton Influencée même si c'était assez facile. Avec son éducation de femme prussienne KKK, elle a une propension naturelle à la Soumission.... Ceci dit, ce petit intermède m'a bien plu ... que dirais-tu d'aménager un Donjon de la ...