Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18 - Histoires de Sexe

Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18

... Influencer Luise qui s'avéra plus que réceptive à son Pouvoir. En un temps record, elle se retrouva captive du Doué, haletant sous le coup d'un désir sauvage qui lui brûlait le bas-ventre. Gauthier fut bien tenté d'en tirer profit mais le risque n'en valait pas la chandelle avec la troupe teutonne qui allait et venait dans le train. Il se contenta donc de la préparer pour le seul bénéfice de Maximilian.

« Vous êtes encore vierge Luise? »

« Bien sur Maître, Je dois me préserver pour mon mariage avec le Comte ! »

« Mais tu as envie de lui? Tu veux qu'il te pénètre et te baise jusqu'à ce qu'il te fasse jouir? »

« Je ne sais pas comment cela se passe entre un homme et une femme dans un lit. Ma mère ne m'a rien expliqué. »

« Mais tu as déjà joué avec ton sexe? »

« Non ... enfin oui, un peu .. quand cela chatouille »

« A partir de maintenant, ton sexe va toujours te chatouiller et seul Max pourra te soulager. Dès que vous serez seuls, tu vas lui offrir ta virginité en le laissant enfoncer son membre dans ton sexe. Puis il va te prendre jusqu'à ce qu'il jouisse en toi »

« Mais et la nuit de noce? Je ne serai plus intacte? »

« L'important est de satisfaire ton futur mari. Tu dois aussi apprendre à prendre son sexe dans ta bouche, le faire jouir en puis avaler sa semence »

« Mais c'est dégoûtant ! »

« Au contraire, tu vas adorer avaler son foutre. Tu vas en éprouver autant de plaisir que s'il jouissait dans ton sexe. Et tu peux aussi lui proposer ...

... tes généreuses mamelles»

« Mais vous Maître, vous ne voulez pas de moi? »

« Si mais Max est mon ami et je ne touche pas aux épouses de mes amis ! Un peu de patience et tu pourras assouvir tes besoins dès ce soir»

Pour mettre fin à la discussion, il la 'chauffa' jusqu'à ce qu'elle jouisse en se tenant le bas-ventre par dessus sa robe. Pour faire bonne mesure, il lui infligea un second orgasme tout de suite après le premier qui la laissa épuisée et elle s'endormit aussitôt après.

L'irruption de Catherine dans le train à Bruxelles, sous son alias de Kathleen , Viscountess Montague, s'avéra décisive pour dérider définitivement Luise von Wedel qui reconnut en elle son égale - en tenant quand même compte de l'infériorité naturelle des Britanniques. Plus corpulente que Kathleen, elle lui rendait cependant dix centimètres en hauteur et ne put s'empêcher de montrer un léger déplaisir lorsqu'elle dut lever les yeux pour toiser son interlocutrice.

Catherine-Kathleen avait bien progressé en allemand, moitié grâce à Gauthier, moitié à la lecture des ouvrages médicaux allemands qu'elle s'acharnait à lire dans le texte mais l'exercice d'aujourd'hui était compliqué par la nécessité de prendre en allemand un accent 'bwitish ' et de mâtiner ses phrases de mots anglais, ce qui semblait amuser au plus haut point l'arrogante junker prussienne.

Elle était aussi déçue d'arriver à Paris sans avoir la possibilité de renouer immédiatement avec Constance et Clifford mais Max aurait ...