Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18 - Histoires de Sexe

Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18

... téton un instant libéré.

Elle examina alors la fine toison pubienne de la Prussienne, d'un blond tellement clair qu'elle était à peine visible.

« Je pensais te raser mais tes poils sont tellement fins qu'une simple coupe suffira. Tu as des ciseaux? »

D'un mouvement de la tête, Luise indiqua la table de nuit et Catherine se mit à l'ouvrage, passant parfois tellement près des zones les plus sensibles que Luise en tremblait de peur mêlée d'excitation.

« Parfait, je n'ai plus qu'à t'essayer ! »

Elle s'étendit sur la jeune femme et se mit à onduler du bassin, frottant son pubis glabre contre celui maintenant presque découvert de sa prisonnière. Ses seins s'écrasèrent sur la poitrine garrottée, faisant vibrer au passage les pinces mais cette fois, Luise n'émit que des halètements de désir. Catherine ôta sa culotte de la bouche de Luise et elles s'embrassèrent avec passion.

Pour la première fois depuis son éveil sexuel, Catherine regrettait de ne pas avoir de phallus. Elle brûlait d'envie de prendre la jeune allemande comme un soudard, de la pénétrer en force avec un chibre de préférence de la taille de celui de Gauthier pour la faire crier à chaque pénétration brutale. Elle n'avait même pas ses godes favoris avec elle, ce qui ne faisait que décupler sa frustration.

Rompant l'embrassade, elle chercha des yeux n'importe quel objet qui pourrait lui servir de substitut phallique et découvrit avec gourmandise deux bouteilles de bière vides sur l'appui de ...

... fenêtre. Elle abandonna un instant Luise et s'empara des deux objets. Sans prendre la peine de le réchauffer, elle enfonça un premier goulot dans le vagin de la jeune femme et le fit aller et venir dans le conduit parfaitement lubrifié.

Luise glapit de surprise lorsque l'objet froid fit irruption au plus profond de son intimité.

« Tais-toi, ta chatte en chaleur va vite réchauffer ma bite ... prends ça ... et ça ! »

Rapidement, le goulot et même le début du corps de la bouteille devinrent glissants comme une savonnette et un sourire mauvais éclaira le visage de Catherine. Elle retira l'objet du vagin déjà bien resserré, écarta les fesses d'une main et viola l'anus de Luise avec son gode improvisé. « AAACCCH . NON? ... PAS LA ! PITIE ! »

D'une main, Catherine maintint la bouteille en place dans le rectum défoncé et de l'autre introduisit le goulot glacial de la deuxième bouteille dans le vagin. Sans laisser le temps à Luise de reprendre ses esprits, elle se mit à la pistonner dans ses deux ouvertures jusqu'à ce que ses sanglots se muent en gémissements de plaisir.

Après une dizaine de minutes de ce traitement, Luise finit par se cabrer et jouit comme une possédée. Catherine lâcha aussitôt les bouteilles et se précipita sur la lourde poitrine de sa victime. Elle arracha brutalement les pinces et broya les tétons endoloris, arrachant des gémissements de douleur entre deux miaulements orgasmiques.

Lorsque la captive complètement épuisée ne réagit plus, Catherine vint ...