-
Journal d'un monstre 2
Datte: 25/11/2025, Catégories: #journal, #adultère, #différencedâge, #enseignant, fh, fplusag, extracon, profélève, amour, dispute, caresses, Oral Auteur: Rainbow37, Source: Revebebe
... illusion : «Je n’ai jamais pensé à vous faire du tort ou du mal… Et j’accepte votre proposition. Mais à une condition…» J’ai senti mon estomac se nouer, et j’ai demandé ce qu’il voulait. Il s’est détourné un instant, comme s’il cherchait ses mots. Il a levé le regard pour le plonger dans le mien et, rougissant légèrement, il a prononcé cette phrase qui m’a fait perdre pied : « Je vous veux encore une fois… Juste une dernière fois. » Je crois que j’ai oublié de respirer, mon corps tout entier tétanisé. J’ai cru mal entendre, ou mal comprendre, que mes oreilles me jouaient des tours, mais c’était limpide et implacable comme une sentence. « Pardon ? » ai-je articulé, presque en suffoquant. Il n’a pas eu besoin de répéter. Il a juste continué de me fixer, comme s’il connaissait déjà ma réponse. J’aurais dû dire non, évidemment, mais si je voulais que ça s’arrête pour de bon, avais-je vraiment le choix ? Et… Quelque part, sa proposition avait suscité en moi une envie… Le refaire. Malgré la honte, malgré la culpabilité, malgré tout ce que cela signifiait, ce sentiment montait, incontrôlable. Je lui ai demandé, ma voix à peine audible, comme un murmure, si après ça il me promettait qu’on vivrait chacun de notre côté en paix, indifférent à l’autre, comme deux étrangers qui se sont croisés par hasard. Il a acquiescé, d’un geste net, précis. Je ne sais même pas pourquoi je lui ai demandé « Quand ? », me doutant bien de la réponse. Sa réponse a été rapide et claire ...
... : « Maintenant ». Je me suis entendu balbutier une réponse, des mots confus et décousus, et avant de comprendre ce que je faisais, je l’ai suivi, tel un automate. Sa chambre était sombre et modeste. Il s’est tourné vers moi, mais n’a pas bougé. Il attendait. Une attente silencieuse, pesante, une mise à l’épreuve de mon consentement. Alors, d’un mouvement lent et maladroit, j’ai commencé à déboutonner ma chemise, les yeux fixés au sol, me sentant honteuse et vulnérable. Quand je n’ai plus rien eu sur moi, je me suis assise sur le bord du lit, mes bras croisés sur ma poitrine, tel un bouclier dérisoire, comme pour me protéger de lui, mais aussi de moi-même. Vincent s’est dévêtu puis s’est approché, lentement, sa démarche assurée avant de s’arrêter juste devant moi. Son sexe dressé était à hauteur de mon visage, une présence brute, imposante, presque intimidante. J’ai compris ce qu’il attendait de moi. J’ai hésité un instant, puis j’ai tendu la main. Sa verge était chaude sous mes doigts, dure et tendue. J’ai commencé à le caresser, doucement d’abord, puis avec plus d’assurance. Mais j’ai senti qu’il attendait autre chose. J’ai levé les yeux vers lui et j’ai dit d’une voix fébrile : «Je… je n’ai jamais fait ça. Je n’ai jamais…» La honte me brûlait les joues. «Je ne suis pas ce genre de femme…» ai-je fini par avouer. Il m’a fixée, le regard assombri par le désir, implacable. «Alors, deviens-le. » Sa réponse a été sèche, une injonction qui ne laissait aucune place à la ...