1. SURBOOK À L'HÔTEL 2/2


    Datte: 22/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Cher Tamis, Source: Hds

    ... précédentes, ils sauront que c'est ainsi que je surnomme le clitoris). Je me gave de sa mouille abondante générée par son intense masturbation. Je suis fou d'amour pour ce corps, je suis fou d'amour pour cette femme. Je dois la marquer au fer rouge. Je ne peux pas la laisser partir demain et ne plus jamais la revoir.
    
    Son bassin ondule sous mes coups de langue et j'insiste, j'insiste, je veux qu'elle me demande le geste ultime, le Graal : baise-moi. Je musarde du petit clown à son sphincter, me régalant au passage de son abondant nectar suintant de son bas ventre. Ces coups de langue provoquent chez elle de légers sursauts, principalement lorsque je lui lèche le périnée et l'anus, deux zones apparemment hyper-sensibles.
    
    - Viens Tristan, viens en moi, pénètre-moi, fais-moi jouir fort, très fort!!!
    
    Mon sexe dur me fait mal tant je bande. Il est vraiment temps d'être le mâle dominant de cette meute de femelles déchaînées. Je remonte jusqu'à ses lèvres, re-baisers torrides. C'est elle qui saisi ma bite et qui la dirige entre ses cuisses brûlantes et ruisselantes. Au plus profond de son ventre je reste immobile. Je ressens les pulsations rapides de son cœur battre contre ma verge. Le plaisir est divin. La fusion est totale. Le massage est subliminal. Sans aucun mouvement, nous atteignons simultanément le point de non-retour. Ma queue déverse en elle un flot interminable de foutre qui déclenche chez elle un orgasme XXL. Du vrai délire. Jamais ...
    ... auparavant une telle frénésie ne s'était produite. Je me surprends moi-même, moi qui croyais bien me connaître.
    
    Toujours allongé sur ce corps de rêve, joue contre joue, je lui avoue mes sentiments, mon amour pour elle. Elle se met à pleurer à chaudes larmes, me sert fort dans ses bras et me déclare :
    
    - Tristan, moi aussi je suis tombée amoureuse de toi dès la première minute où je t'ai vu, mais je vis en Belgique et je suis mariée.
    
    Ce n'est pas une douche froide, mais une douche glacée qui me submerge. Un cyclone me ravage, un uppercut en pleine poire, une baffe magistrale me fusille sur le champ. Je reste muet, paralysé. Dans ma tête, c'est la tempête, le naufrage, la noyade.
    
    L'ambiance est brusquement retombée. Le cœur n'y est plus. La réalité reprend sa place, ma mère va rentrer dans quelques minutes, et demain, à la fraîche, mes trois muses vont m'abandonner. Merde alors..... C'est mal foutu la vie.
    
    Adèle et moi migrons au salon sur le canapé, camouflés sous le drap et masqués par le paravent et laissons Bénédicte et Carole dans ma chambre.
    
    Collés l'un à l'autre, enlacés, étreints nous restons ainsi, tels des amoureux transis, en échafaudant des projets chimériques, en alignant des si, des peut-être, des pourquoi pas, entrecoupés de longs silences et de torrides baisers.
    
    Au matin elles partent toutes les trois pour le Sud. Je ne vous décris pas la scène de cette séparation, les mots me manquent et le désarroi est trop profond.
    
    FIN 
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