1. SURBOOK À L'HÔTEL 2/2


    Datte: 22/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Cher Tamis, Source: Hds

    ... tardent pas à la prendre l'assaut.
    
    Elles se passent « la chose » de l'une à l'autre, tel un sucre d'orge. Je ronronne comme un chat, je voudrais que ce soit une histoire sans fin. Mais va aussi falloir que je m'occupe d'elles, à moins que ce soit elles qui s'occupent de moi.
    
    Carole semble la plus affamée et devient ma première « victime » consentante. Nos regards se croisent, nos sourires valident cette entrée en scène. C'est à quatre pattes que nos ébats commencent. Bite en main, je m'approche de ses rondeurs, oui elle a de très jolies fesses bien proportionnées, bien fermes. Depuis derrière, la vue est imprenable sur sa rosace couleur caramel. J'en perds la tête et ce n'est vraiment pas le moment de rater le virage. Sa chatte, béante, dégouline. Aucune peine à trouver l'entrée et à m'enfoncer dans ses chairs. Elle tortille son cul dans tous les sens, gémit de plaisir, agrippe ses mains à l'oreiller, elle n'est pas loin de partir au pays du plaisir.
    
    Ses copines, de leur côté, ne perdent pas de temps. Bénédicte s'est glissée sous le ventre de Carole, sa bouche à la hauteur de son clitoris et lèche tantôt sa chatte, tantôt mes testicules, tandis qu'Adèle se masturbe, vitesse grand V, en ne perdant pas une miette du spectacle qui se déroule sous ses yeux.
    
    Je freine mes ardeurs. Ce n'est pas le moment de porter l'estocade, pourtant l'envie ne manque pas. Je continue cependant de marteler la moule de Carole tout en appréciant les petits coups de langue bien ciblés ...
    ... de Bénédicte. Je dois impérativement graver cette soirée dans ma tête, me souvenir de tous les détails, car un tel scénario ne se reproduira sans doute jamais.
    
    L'intérieur de la féminité de Carole bouillonne. Les muscles de son vagin se contractent, m'emprisonnent puis, brusquement, dans un profond râle se détendent.
    
    La belle s'envole dans un orgasme sans fin, et la puissance de cette jouissance m'éjecte littéralement de son entrejambe, engendrant un abondant jet de cyprine. Bonjour la literie.
    
    Nimbé par les humeurs de Carole, la queue toujours raide, c'est Adèle qui prend le relais. Adèle, c'est la plus jolie, la cerise sur le gâteau, la mieux faite, la plus sexy, celle qui me branche le plus. Allongée sur le dos, jambes largement écartées, elle m'offre sans la moindre gêne, l'intégralité de son intimité. Je m'allonge sur ce corps de rêve, mes lèvres trouvent les siennes, je l'embrasse longuement et goulûment avant de coulisser doucement, lentement, délicatement le long de son cou, de son corps, de ses seins superbes aux aréoles bien dessinées et aux tétons tout petits et tout pointus. Ma progression continue, son ventre plat, son nombril, sa peau satinée son mont de Vénus recouvert d'un fin duvet de poils soyeux m'offrent un accueil de première classe. Elle sent bon, elle sent la femme, elle sent l'envie. C'est la 8e merveille du monde.
    
    Ma langue fouineuse décalotte son petit clown déjà surexcité (Le petit clown, pour celles et ceux qui ont lu mes histoires ...