1. SURBOOK À L'HÔTEL 2/2


    Datte: 22/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Cher Tamis, Source: Hds

    ... Au gré de leurs agitations et gesticulations leurs seins se balancent et débordent régulièrement aux larges échancrures de leur top. Elles sont totalement déchaînées. J'ai comme une vague impression que je serai leur proie plutôt que leur prédateur.
    
    Mes mignonnes ont le gosier en chute libre. Moi, je veille au grain, il y a d'autres locataires dans l'immeuble, et, avec mes bruyantes convives, je dois assurer un minimum d'ordre et veiller aux nuisances sonores.
    
    - On peut danser? me demande Adèle
    
    - Oui, pas de problème, mais on débarrasse vite la table, on récupère nos verres, on s'installe à l'intérieur, fenêtres fermées et stores baissés.
    
    Je pousse les meubles, et démarre la musique. Restons Antillais jusqu'au bout. Après le ti-punch, place au zouk. L'alcool commençant à faire effet, les minettes sont endiablées. Elles tortillent leur popotin dans tous les sens ou prennent des poses sensuelles en venant frotter leurs attributs contre les miens, n'hésitant pas au passage à effleurer l'avant de mon short de la main. J'ai beaucoup de peine à masquer mon érection, et ça, ces petites salopes l'ont bien remarquée. Comment cette soirée va-t-elle se terminer?
    
    Pendant que je m'activais en cuisine elles ont dû élaborer un plan. Ce n'est pas possible autrement. Elles réclament de la musique lente, style slow langoureux, laissent juste une veilleuse allumée et m'invitent à la danse. Je passe des bras de Bénédicte à ceux d'Adèle, puis de Carole. Je suis sollicité de ...
    ... partout. De vraies mantes religieuses. Des bouches me roulent des patins, dans ce tourbillon, je ne sais plus qui est qui. Six mains me tournent autour, me plotent, me tripotent, me soupèsent, m'évaluent, m'excitent. La température monte, et plus elle monte, plus nos vêtements nous paraissent inutiles. Nous nous retrouvons tous les quatre quasiment nus. Moi en boxer et les filles en string, poitrine à l'air. Je ne vous explique pas dans quel état est ma bite, coincée dans un boxer devenu trop exigü.
    
    Il est 22h30, j'espère que ma mère ne rentre pas plus tôt. Boff, la connaissant, elle serait plus surprise que fâchée, mais mieux vaut prévenir que guérir, il est temps de migrer et de continuer la fête dans ma chambre, tous les quatre. Un petit mot pour ma chère maman sur la table de la cuisine pour lui dire que la vaisselle et le rangement ce sera pour demain.
    
    Une minute plus tard, je les rejoins dans la chambre avec nos boissons et nos verres et je vois mes trois Naïades allongées, nues sur le lit, en train de se caresser, chacune pour soi, lascives, demandeuses. Je pose mon plateau, retire mon boxer, offre à mes visiteuses mon phallus pointé sur douze heures et me couche auprès d'elles sur le plumard. Je suis la tranche de jambon du sandwich, et le pain qui m'entoure est loin d'être rassis, croyez-moi. J'hallucine. Trois nanas en chaleur, une à ma gauche, une entre mes jambes et une à ma droite, impatiente d'en découdre. Assis, dos contre le mur, la bite en érection, elles ne ...