La Collaboratrice 8/8 - Histoires de Sexe

La Collaboratrice 8/8

... tiroir et en sortit le collier de cuir, son ancien symbole de soumission. Avec une profonde détermination, elle l'attacha autour de son cou, marquant ainsi son désir de reprendre son rôle de servante.

Chiara, observant la scène, s'approcha doucement d'Erin, posant une main réconfortante sur son épaule.

-- Erin... tu n'es pas obligée, tu sais. Nous sommes ici pour toi, murmura-t-elle, ses yeux remplis de compassion.

Erin hocha doucement la tête, un sourire timide mais déterminé sur ses lèvre. Malgré tout ce qu'elle avait perdu, elle voulait encore leur montrer son dévouement. Même sans voix, elle restait la même Erin, fidèle et résolue à être présente pour ceux qu'elle aimait.

Elle se prosterna devant l'italienne et lui baisa les pieds. Chiara sourit pour elle-même. Erin déchaussa sa maitresse et commença à lécher les doigts de pieds vernis. La caresse faisait au désir de l'italienne ce que le souffle fait à la braise, il l'embrasait. Sa culotte se mouilla. Une furieuse envie de prendre la soumise jaillit dans son ventre. Son ventre vibrait à l'intérieur, à l'extérieur son corps maintenait une immobilité d'attente.

D'un coup, Chiara amena Erin dans le donjon et l'attacha à la croix. Le sourire sur le visage de la soumise rassura la brune. Le fouet sur les seins, sur les fesses, les morsures, la séance ne se termina que lorsqu'Erin gueula du plaisir que sa maitresse consentit à lui autoriser.

***

Une semaine après leur retour à Paris, la dynamique dans ...

... l'appartement semblait revenir doucement à la normale. Un matin, Chiara demanda à Arnold de la rejoindre dans la chambre-donjon d'Erin. Arnold hésita un instant. Il n'avait jamais mis les pieds dans la chambre d'Erin.L'idée d'y entrer le rendait légèrement nerveux.

Lorsqu'il poussa la porte, il découvrit un décor inattendu, fait d'éléments qui avaient toujours été tenus à l'écart de sa vue. Erin était là, portant son collier de cuir, nue, à genoux au sol. Chiara, d'une allure confiante et assurée, regardait le vieux noir au fond des yeux avec un léger sourire.

Arnold, bien qu'un peu timide, fixa la nudité d'Erin et la poitrine opulente de Chira qui dépassait un peu de la chemise blanche. Chiara, toujours attentive à l'attitude d'Arnold, l'observait du coin de l'œil.

-- Arnold, à partir d'aujourd'hui, si tu le désires, Erin pourra te servir dès qu'elle portera un collier en cuir, déclara-t-elle. Cette salope n'est pluj capable de travailler au bureau avec Pierre. Faut bin qu'elle serve à quelque chose!

Toujours silencieuse mais résolue, Erin acquiesça légèrement. Malgré son incapacité à parler, son regard exprimait une volonté claire de continuer à s'offrir. Arnold, surpris par cette déclaration, prit un moment pour digérer ce que cela impliquait. Il savait que sa place dans cette dynamique évoluait.

-- Je vous remercie, Madame Chiara, Mademoiselle Erin, dit Arnold avec une sincérité pleine de reconnaissance. Je... suis honoré par cette proposition.

Chiara lui ...