La Collaboratrice 8/8 - Histoires de Sexe

La Collaboratrice 8/8

... sourit, consciente du changement qui se déroulait dans leur petite communauté.

- Je vous laisse, lança légèrement la belle brune en frôlant Arnold en sortant.

Le soleil du sourire de la soumise brillait, mais ses yeux se voilèrent d'une pudeur candide qui charma Arnold. Il l'embrassa en la serrant contre lui. Le corps fin de la jeune femme coula contre lui. Ce baiser fit à son appétit de femme ce qu'Erin fit à la pudeur de l'homme. Elle l'entoura de sa tendresse et lui de ses bras.

En s'écartant un peu, le vieil homme la fixa et les yeux de la biche cillèrent. Craquante! Arnold plongea dans son cou comme on effleure le duvet d'une rose, avec la délicatesse de la prudence. L'odeur de la jeune femme le rendit fou. Le léger gémissement qui chanta à son oreille enflamma son désir.

Les doigts d'Erin s'enfoncèrent dans l'épaisse chevelure du vieux black. Assise en amazone sur le bord du lit, elle s'offrit à la bouche curieuse du chauffeur. Ses mains caressaient le haut de son dos, en bas sa chemise fut relevée par les paluches curieuses. Le soixntenaire toucha la peau chaude et satinée au creux de ses reins. Comme un éclair électrique, Erin se tendit et lui sourit avant de l'embrasser à nouveau.

Chaque bouton ôté fut un pas vers la nudité de leurs désirs. Simplement, naturellement, ils se retrouvaient finalement nus l'un contre l'autre.

L'étreinte est un océan de vagues de plaisirs qui les submergea. La soumise maintenant était allongée sous le corps robuste ...

... et tendu au-dessus d'elle. Il imprima un mouvement de hanche assez lent et, plutôt avec gourmandise, sa bouche et ses mains, sur les petits seins, s'activaient. La jeune femme relèvait ses cuisses contre le corps robuste du vieil homme et plus profond, il la pénétra. Son visage voyageait entre les sourires et les gémissements. Ses yeux pétillaient. Ses mains s'agrippaient.

Arnold prit l'initiative de basculer sur le côté et, ainsi placé derrière elle, il eut le loisir de malaxer sa petite poitrine aux tétons dressés et de se mouvoir dans son sexe humide et serré. N'étant plus face à face, il crut que Erin se lâchait un peu plus et ses gémissements augmentaient.

Très progressivement, le vieux black accéléra en entourant de ses bras le corps de la jeune femme toute fine. Ils montaient ensemble en communion au rythme du flux et du reflux de leur danse lascive. L'orgasme de Erin fut puissant autant que bruyant malgré son mutisme et il bouleverse Arnold tellement qu'il ne put se retenir. Et, le silence assourdissant d'un paroxysme si intense. Les voilà donc seuls sur terre, n'ayant plus de temps et d'espace, de repères, de souffle, que leur plaisir intense.

La jeune femme chauve se retourna pour embrasser le chauffeur. Sans vraiment s'en rendre compte, sans hiatus particulier, Erin se retrouva au-dessus d'Arnold et ses mains, semblant rompues à cette lascivité, parcouraient le torse large et le ventre tandis que sa bouche l'embrassait. Le corps de rêve d'Erin coula ...