La Collaboratrice 8/8 - Histoires de Sexe

La Collaboratrice 8/8

Chapitre 8 :

Deux ans s'étaient écoulé, renforçant les liens entre Pierre, Chiara et Erin. Leur ménage respirait une harmonie évidente. Ce week-end de mai, sous un soleil éclatant, ils avaient décidé de fuir le tumulte de la ville pour une journée à la campagne. Un pique-nique près d'une rivière tranquille les attendait.

Pierre, décontracté dans son jean et polo, était accompagné d'Erin, qui attirait les regards dans son micro-short en cuir noir et une brassière à peine plus couvrante. Chiara, toujours élégante et lumineuse, portait une robe ample en tissu léger, son décolleté vertigineux et ses longues boucles brunes dansant au rythme de la brise.

Le cadre était idyllique. La rivière, aux eaux limpides, reflétait les derniers éclats du soleil couchant, baignant le paysage dans une lumière dorée et douce. Arnold, fidèle chauffeur et observateur silencieux, regardait la scène depuis sa voiture. Il savourait ce moment à sa manière, d'autant plus que sa fille, evenue d'un long séjour à l'étranger, lui rendait enfin visite. Préférant rester en retrait, il avait décliné l'invitation à s'asseoir sur la nappe, se contentant de profiter de la vue.

Alors que la journée touchait à sa fin, Erin s'agenouilla devant Pierre et Chiara. Sa voix, douce mais un peu enrouée, brisa délicatement le calme du crépuscule. Son regard était chargé d'émotion, et l'air paisible du soir semblait suspendu à ses mots.

-- Pierre, Chiara, je renouvelle ma soumission et mon engagement envers ...

... vous, dit Erin, sa voix un peu cassée mais pleine de sincérité. Je suis heureuse comme ça, dans ma vie de soumise, et je veux continuer à vous servir de tout mon cœur.

Pierre et Chiara échangèrent un regard. Touchés par les mots d'Erin, ils prirent chacun une de ses mains, acceptant son engagement avec une affection évidente. Arnold, resté dans sa voiture, observait discrètement la scène. On devinait une curiosité mêlée de respect dans son attitude.

Chiara défit les boutons de sa robe. Elle la laissa glisser doucement le long de son corps jusqu'à ce qu'elle tombe sur l'herbe. Nue, elle se révéla dans toute sa splendeur : une beauté italienne éclatante, sa poitrine pleine et naturelle ornée d'aréoles délicates, une taille marquée et des hanches harmonieuses qui dessinaient une silhouette à la fois sensuelle et élégante. Son visage, radieux, se tourna vers Pierre, un sourire tranquille sur les lèvres.

Erin, sans un mot, s'agenouilla devant elle, inclinant son front vers le sol.

La brune tourna la tête comme pour balayer ses cheveux en arrière. Elle lança un coup d'œil au loin à Arnold qui attendait dans la voiture. Elle avait depuis longtemps deviné que le vieil homme en pinçait pour elle. Elle savait qu'il la couvait des yeux quand il se retrouvait dans ces instants si licencieux que le couple cultivait.

- Viens me lécher à quatre pattes. Pierre va t'enculer.

Obéissante, Erin se décoinça de son micro short et se mit à quatre pattes devant sa maîtresse et planta ...