La Collaboratrice 8/8 - Histoires de Sexe

La Collaboratrice 8/8

... sa bouche sur la vulve. Sa langue commença ses circonvolutions dans les replis intimes qui s'ouvraient. Il y avait toujours des petits frissons qui remontaient sa colonne vertébrale quand on allait l'enculer. Pierre avait craché sur sa rondelle et étalait la salive du bout de son gland. Le sphincter résista très peu et s'ouvrit sous la poussée du beau brun qui fessa Erin.

Chiara encourageait sa soumise en guidant le crâne chauve d'une main de maîtresse. Le rythme et l'intensité étaient indiqués. Sa vulve trempée réclamait son plaisir. Son bouton l'agaçait. La brune fixa son mari qui enculait avec entrain. Accroché aux hanches menue, l'homme s'enfonçait le plus profondément possible faisant gémir Erin à chaque coup.

- Vas-y lèche mon bouton. Je décolle. Vas-y salope.

Pierre admira sa femme jouir. Son visage s'épanouit. Il décula.

-- Erin, retourne à la voiture et occupe-toi d'Arnold. Il est resté seul tout ce temps, ordonna-t-elle.

Erin, obéissante, se releva et se dirigea vers la voiture où Arnold l'attendait. Elle se dirigea vers le vieux black, prête à s'offrir. La grande chauve se posta contre le capot, fesses offertes, en dévisageant le chauffeur. Ce dernier ne prit pas son temps, pantalon aux chevilles, il massa rapidement son pieu déjà bien excité et se planta dans la chatte ouverte. Quel soulagement pour Arnold.! Il avait entouré la fine taille d'Erin de ses larges mains et s'enfonçait en rythme.

En face d'eux à une trentaine de mètres, Chiara et ...

... Pierre. L'italienne, comme Erin était dos à son amant et regardait Arnold. Pierre baratait sa femme avec entraine en lui enfonçant son pouce dans l'anus.

Arnold admirait la lourde poitrine de Chiara qui se balançait sous son corps. La brune regarda le grand black qui possédait la jeune soumise. Les deux s'observaient, l'une l'attisait, l'autre l'enviait. Effrontée, Chiara lécha ses lèvre en fixant son chauffeur. Arnold percutait plus fort Erin qui gémissait plus fort sous les puissantes poussées du vieil homme.

- Tu exagères. Il ne veut peut-être pas, souffla le français qui accélérait.

- Ça m'étonnerait. D'ailleurs, je t'ai dit que j'ai croisé sa fille. Une beauté africaine pur jus.

- Arrrgghh, fit la voix éraillée d'Erin qui jouissait.

--

Un mois plus tard, un soir, Chiara et Erin étaient chez un vieux pote de Chiara pour une soirée pas comme les autres. L'ambiance était tamisée, un peu étrange, presque pesante. Erin, dans une jupette trapèze ultra courte et une petite veste, restait collée à Chiara, prête à suivre le programme sans poser de questions.

Au fond de la pièce, Arnold, en costume noir et casquette, observait. Toujours calme, toujours à l'écart, il gardait un œil sur tout, comme à son habitude.

Les sept hommes, invités spécialement pour l'occasion, se tenaient en ligne, prêts à se présenter devant Chiara. C'était des habitués de clubs libertins. Des hommes plutôt bien foutus mais surtout endurants.

Chaque homme, à tour de rôle, venait ...