1. Jenna se joue au poker (4)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

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    « - Arrêtons-nous, laissons-là se relever, se mettre sur ses jambes… enfin ses bottes, qu’elle se remette en marche… avant de donner l’assaut.
    
    — Oui d’accord. Tu as raison » répond Jean-Edouard.
    
    Nous nous accroupissons, la regardant se mettre à genoux tant bien que mal, puis se relever lourdement. Elle a du mal à retrouver son équilibre puis se remet lentement en branle.
    
    Soudain elle a l’idée de tourner la tête, regardant derrière elle. Elle nous a aperçus, pousse un cri de frayeur, strident et comique, et se remet à trottiner.
    
    « - Tayaut ! » crie l’un d’entre nous.
    
    « - A l’assaut !
    
    — Ceux qui sont sur les extérieurs, courez plus vite et essayez de la dépasser sans vous faire voir. Nous allons l’encercler, alors qu’elle ne s’y attendra pas. »
    
    Les plus agiles s’exécutent, nous les laissons prendre de l’avance, pour, quant à nous, doser notre pas, histoire de ne pas arriver trop vite sur elle.
    
    Nous la suivons sans nous fatiguer, sans la perdre de vue. Elle pousse des cris débiles.
    
    Lionel connaît bien le bois et sait qu’elle va bientôt atteindre le mur d’enceinte du fond.
    
    Mais les deux autres doivent déjà y être.
    
    Et puis on la voit s’arrêter, comme prise de stupeur. Elle est tombée sur nos deux gaillards… du moins ils sont à portée de vue. Elle se sent cernée. Si elle a eu le temps de voir le mur, elle a peut-être cru qu’elle avait une chance. Mais c’est raté. C’est cuit pour elle. Elle va y passer, cette poule.
    
    Nous ralentissons le pas, ...
    ... nous avançons d’un pas confortable, tranquille. Les autres compères là-bas se sont arrêtés comme elle. La voilà cernée aux quatre points cardinaux.
    
    Nous nous approchons lentement, sûrs de notre coup, prêts à tout et décidés à ne lui laisser aucune chance, excités à l’intérieur, devant ce gibier aussi bandant que, sur le point de lui donner l’assaut à mon signal.
    
    Quand je crie : « Dessus ! » tous se ruent vers elle. Elle essaie de trouver un angle de fuite, une diagonale mais le cercle se rétrécit, le piège se referme sur elle.
    
    Nous la ceinturons. Chacun lui pelote ses gros nichons, lui étire ses tétines qui sont toutes dures, toutes turgescentes (effet de la fraîcheur matinale sur sa poitrine ou de ce qu’on lui fait subir ?) Elle se débat, mais elle se prend des claques sèches sur ses grosses fesses, des doigts lui attrapent les lèvres de sa chatte, errent dans la moiteur de sa vulve…
    
    « - Mais elle mouille, cette salope ! » m’exclamé-je.
    
    Lionel qui a toujours les cordes de chanvre, épaisses et rêches s’exclame :
    
    « - Attachons-là debout à ce gros tronc d’arbre là ! »
    
    Elle se retrouve soudain quasiment soulevée de terre, transportée jusqu’à l’arbre. L’un de nous lui passe une corde autour du cou qu’il passe autour de l’arbre, ça la calme : elle a peur en se débattant de se retrouver étranglée.
    
    Jean-Edouard lui passe une corde autour de la taille et fait plusieurs tours autour du tronc.
    
    On détache ses poignets et attache ses bras tendus comme si elle ...
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