Jenna se joue au poker (4)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
La grosse salope est prise au piège. La voilà attachée les bras en l’air, en équilibre sur la pointe de ses bottes et ses hauts talons, les nichons par-dessus bord, la robe retroussée, et le body dégrafé qui dévoile maintenant deux fesses plantureuses, épanouies, qui ne demandent qu’à être pelotées et claquées.
Je lui ai installé un gode vibrant, court, qui a trouvé direct le chemin de sa chatte. La salope mouille comme une chienne et c’est rentré sans problème.
J’ai la télécommande et augmente l’intensité : elle se met à danser d’un pied sur l’autre, du moins autant qu’elle peut car ses bras sont tendus au maximum.
Pendant ce temps Maurice qui s‘amuse de ses mimiques grotesques, de ses grimaces désespérées, en remet une couche en attrapant ses mamelons qui dressent bien, sous l’effet du froid du petit matin… …et sans aucun doute de l’excitation ! Car elle n’en peut plus cette chienne lubrique !
Elle est à point ! Elle proteste, fait sa femme honnête, mais l’empressement qu’elle exprimé ce matin à vouloir « en finir » rapidement en dit long sur ses désirs peu enfouis et ses fantasmes…
Maurice, avec un sourire de satisfaction sadique, commence à lui travailler les mamelons en les lui tordant de plus en plus fort, tirant sur les pointes, sachant bien doser sa force, en expert qu’il est. Il lui arrache des petits cris et ça nous excite tous !
Puis il les lui lâche comme s’il s’agissait d’élastiques, et cinq-six fois se met à lui gifler ses roploplos. Elle est ...
... surprise, mais c’est plus sonore que réellement cruel.
Soudain elle pousse un cri de stupeur et de saisissement : Lionel qui avait commencé lui passer ses doigts sur sa vulve vient de lui introduire son majeur dans l’anus !
« - Hummmm… » apprécie-t-il, « mais c’est qu’elle a un petit trou bien étroit cette garce… On n’aurait jamais cru qu’elle était aussi serrée… Vous imaginiez, vous, qu’une salope pareille, une allumeuse avec un tel cul de catin, des bottes de putain chic, ne se faisait pas défoncer régulièrement le fion… ?! »
Le quatrième lascar qui commençait à se frotter la bosse bien dure qui saille sur son pantalon kaki, lâche :
« - Elle donne envie qu’on se la prenne tout de suite par les deux trous… voire qu’on la détache, la jette au sol et lui en mette plein la gueule… Je lui enfoncerais volontiers ma grosse pine jusqu’au fond de la gorge…
…mais ça serait trop facile, trop rapide. Que diriez-vous qu’on la relâche, lui laisse deux minutes d’avance, la regardions partir et courir comme une gourde, le cul à l’air, les seins ballottant, le gode bien fiché dans la chatte… et qu’on la traque, la rattrape, et la plaquions… et qu’on se la mette, la défonce par tous les trous à quatre pattes dans les feuilles, hein ? Ça aurait de la gueule… ? »
Tous les autres acquiescent et alors que je l’ai tout juste détachée, Lionel qui tient sa ceinture par la boucle lui en administre deux-trois coups bien sentis et bien appliqués en travers de ses fesses rebondies… ...