1. Jenna se joue au poker (4)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... embrassait l’arbre.
    
    Puis par prudence je donne l’ordre d’enlever la corde de son cou ; de toute façon elle ne peut plus bouger.
    
    Pendant ce temps-là je coupe de longues branches fines d’arbuste avec mon Opinel, enlève les fins rameaux et en fait un gros bouquet. Les brindilles sont vertes et bien souples.
    
    Et alors que des doigts ont déjà commencé à lui écarter les fesses, à s’insinuer dans son petit trou, lui pincer ses chairs, jouer avec le gode, moi armé de ma brassée de verges 100 % naturelle, on ne peut plus fraîche, je demande à tous de s’écarter.
    
    Je me place, mesure la distance, et prenant l’élan maximum, je lève mon bras vengeur et me mets à cingler régulièrement et lentement ce cul trop prétentieux, arrogant, et provocateur, qui fait bander les hommes au point de risquer de les faire s’écarter du droit chemin.
    
    J’accomplis mon devoir, intraitable. Elle pousse des cris déchirants mais je ne me laisse pas apitoyer. Je zèbre sans faiblir le fessier replet et bien rebondi, le bas des reins et le haut des cuisses grasses, dessinant un joli treillage de lignes d’abord rose, puis rouge bien sombre.
    
    Elle gueule, sanglote, mais tous se sentent vengés et pensent dans leur tête qu’elle ne l’a pas volé. Elle a bien mérité ce traitement en nous prenant pour des cons, nous toisant du haut de sa superbe, cette prétentiarde, cette millionnaire.
    
    A un moment donné, Lionel me fait signe d’arrêter. Il s’approche et lui retire le gode qui est toujours fiché dans sa ...
    ... chatte.
    
    Puis on le voit qu’il lui écarte les fesses tant bien que mal avec les doigts de sa main gauche, qui farfouille… Soudain elle gémit, puis hurle : on comprend qu’il vient de lui enfoncer l’objet dans le cul ! Son petit trou est serré, elle a dû le sentir passer…
    
    Je reprends le cinglage de ses belles chairs élastiques, les branches souples sifflent dans l’air, et un cri strident et déchirant nous surprend à chaque fois.
    
    « - C’est bon, ça suffit pour le moment », dit Maurice, « il est temps de se payer sur la bête ! Détachez-la de là, prenez-la et allez la ficeler à plat ventre sur ce gros tronc couché qui lui tend les bras. »
    
    On la détache, puis cinq paires de bras forts et galvanisés par l’envie et le rut qui monte, la soulèvent de terre, la portent ; elle a beau se débattre, la voilà maintenant couchée au milieu du sentier, basculée sur le ventre comme un gibier fraîchement capturé… ou plutôt comme une vulgaire fille de ferme qu’on culbute dans la grange, comme une fille de salle mafflue qu’on bascule sur une table à la fin d’un repas de noce bien arrosé, qu’on trousse pour lui exposer ses grosses fesses bien blanches à la vue de tous alors qu’elle glousse tandis qu’on lui pince ses hémisphères celluliteux et que les convives bien excités se débraguettent, prêts pour la saillie.
    
    Mais là c’est une femme de la Haute, de la grande bourgeoisie d’affaire qui se retrouve poings liés dans le dos, le cul à l’air offert à une bande d’hommes en rut en tenue de ...
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