Jenna se joue au poker (4)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... Elle hurle, manque de tomber, trébuche puis commence à se trémousser en partant d’un pas affolé et maladroit.
Nous la regardons s’éloigner en rigolant. Elle ne se retourne même pas.
Il faut voir le spectacle ! La brune bêcheuse qui essaie de s’échapper avec les poignets liés dans le dos… Elle court en se dandinant comiquement, sa robe froissée et serrée sur ses reins… et dessous ses grosses fesses qui ballottent… Elle ne sait pas courir en plus - on voit bien que ça n’est pas une sportive, pas une folle du jogging qui court tous les matins avant d’aller bosser ni même le week-end – et il faut dire qu’avec ses bottes à très hauts talons pointus (même si les planter dans la boue peut lui donner une certaine stabilité) ça ne doit pas être très aisé.
Mais elle fait vraiment godiche et pataude. A moins que cette femme mûre qui semble si gauche en fait vraiment exprès et n’a pas vraiment l’intention de nous fuir mais plutôt d’être rattrapée.
Envie d’en finir au plus vite… ou d’assouvir un vieux fantasme jamais avoué ?
Nous la laissons partir de sa course ridicule et balourde, histoire de bien rigoler, de bien mater ses grosses fesses et ses seins lourds en train de danser.
Certains ont envie de s’élancer à sa poursuite tout de suite mais je ne suis pas d’accord, ça ne serait pas drôle, et trop facile.
« - Laissons-là disparaître dans la clairière, et qu’elle prenne un peu d’avance. Ainsi liée elle ne pourra pas courir bien vite…
— Surtout avec ses bottes de ...
... pute ! » rajoute Lionel en riant. Il a un paquet de cordes sur son épaule.
« - Et puis moi j’aime la chasse. Il faut un peu de suspense, le plaisir de la chercher… T’aimais pas jouer à cache-cache quand t’étais petit ? »
Tout le monde rigole bruyamment.
Nous attendons cinq, même dix minutes, puis n’y tenant plus :
« - Allons-y ! »
Et tout le monde s’élance
« - Agissons avec méthode : avançons ensemble mais séparés à 5 ou 10 mètres l’un de l’autre, comme ça nous ratisserons tout le terrain, enfin tout le bois, et elle ne pourra pas passer à travers les mailles du filet.
— Et regardez bien derrière les gros arbres en les dépassant, elle serait bien capable de se planquer derrière un large tronc pour nous laisser passer et se tirer en arrière…
— Ouais… »
Nous avançons assez rapidement, en silence, même si on peut entendre les petites branches qui craquent sous nos pas. Tout le monde regarde partout, scrute les sous-bois assez sombres, tellement ils sont touffus et serrés par endroits. Le bois est peu entretenu, semblant un peu sauvage parfois.
Chacun s’attend à l’apercevoir soudain, cachée et en silence, comme dans ces hautes fougères, par exemple.
Mais là, elle nous déçoit encore. Tout à coup nous apercevons une forme sombre au sol, à moins de quatre-vingts pas. Elle a dû tomber et roule un peu sur le côté, essaie de se relever, et geint. Qu’elle semble godiche et empêtrée…!
Elle ne peut encore nous entendre, et encore moins nous voir. Je dis ...