Le triomphe de Judith
Datte: 20/09/2019,
Catégories:
fh,
uniforme,
amour,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pied,
Oral
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... nuées et s’ouvrir les eaux afin de triompher d’un ennemi cent fois plus nombreux par la force d’un bâton tenu par un seul homme. Je connais l’histoire de ton peuple. Mais non, pourtant, je ne te crains pas, même si je me soumets devant tes charmes.
— Pourtant je pourrais t’occire avant même que tu m’aies touché. Il me suffirait de me saisir de ton sabre. Me crois-tu, parce que femme, incapable de manier cette arme ?
— Si c’est pour cela que tu es venue, fais-le. Regarde : sa lame est parfaitement affûtée ; je viens de m’en assurer. Mais si tu me permets, juste avant, de m’immerger dans les eaux immenses de ton corps parfumé, je te tendrai mon cou sans hésitation et sans aucun regret.
En soldat vaincu, il se tenait à genoux, complètement dévêtu, la tête tout près de la toison brune de Judith qui restait debout. Il était littéralement enivré des fragrances féminines, mélange d’un abondant suc vénérien, de myrrhe et fleur de jasmin, autant de subtils aphrodisiaques qui l’appelaient comme l’eau jaillissante d’une source fraîche en plein cœur de l’été.
— Même si tu ne veux pas que nous unissions nos sexes, permets-moi seulement de plonger mon visage dans ton endroit intime…
— Fais-le ! Il y a si longtemps que je n’ai pas connu cette joie que j’ai dû oublier cette sensation.
Elle appuya ses deux mains réunies sur l’arrière de la tête de l’homme qui était emprisonnée. Trouvant sans peine le clitoris émergeant du fourreau, il lécha de l’extrémité de la langue. La ...
... servante regardait le couple, assise en tailleur, silencieusement. Dehors, les hommes qui n’étaient pas de garde dormaient ou jouaient aux dés. Il n’y avait presque aucun bruit, sinon le vent de la nuit qui bruissait contre la toile de la tente. À quelques pas de là, le jeune aide de camp, tourmenté par un cauchemar inspiré par une inquiétante intuition, se retourna brusquement sur sa couche et poussa un cri.
Judith se laissa lécher jusqu’au spasme qui la fit tressaillir sur ses jambes, puis elle attrapa le général par ses cheveux pour l’obliger à se coucher sur le dos. Il n’opposa aucune résistance.
Elle se tint debout, ses jambes de part et d’autre de la tête de l’homme qui admirait les cuisses qui étaient comme deux grandes rivières dorées se rejoignant dans une vallée herbue et sombre. Elle tenait toujours le sabre entre ses mains, dirigeant même la pointe vers la tête de celui qui restait couché, parfaitement immobile, hypnotisé par cette vision déroutante du corps féminin.
Puis elle s’assit sur le membre tendu qu’elle inséra en elle. Les ondulations de son bassin provoquaient chez l’homme d’irrésistibles élancements de volupté, ce qu’il n’avait encore connu avec aucune autre femme. La longue chevelure parfumée ondoyait à ce rythme comme les vagues d’une mer obscure. Il aurait pu venir rapidement, mais elle griffa le torse avec force, labourant la peau jusqu’au sang, ce qui à dessein provoqua une douleur qui retarda l’extase. Les regards restaient connectés sans ...