Aparté
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
hh,
hplusag,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
hdanus,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... spontané qui balaya toute tension. Il couvrit de petits baisers le dos de ma main, se leva prestement et plongea dans la piscine. Cela avait duré quelques secondes. Je restai ballot, abasourdi, la main encore tendue… avec une érection grand format.
Revenant de mon étourdissement, je me relevai et l’observai un instant. Il nageait bien mieux que ses dires le laissaient supposer. J’aurais pu le rejoindre mais en se jetant dans la piscine, il avait volontairement mis fin à la séquence. Nous n’en resterions certainement pas là. Cependant je ne voulais pas précipiter les évènements. Je me pris par la main et j’allai préparer le repas.
Je passai l’heure suivante à la cuisine. Mes exactions culinaires calmèrent mon excitation, mon caleçon de bain retrouva une apparence décente. Je concoctai un menu simple avec les ingrédients à ma disposition : salade composée, côtes de veau accompagnées de haricots verts. Je m’attendais à chaque seconde de la voir arriver. Pas « la » mais « le », je « confusionnais » gravement. Chaque bruit, grincement me faisait sursauter. Mais j’espérais en vain.
La table dressée, je dus aller le chercher. Je le trouvai, sur le ventre, la tête dans les bras, allongé à même les dalles offrant son dos nu au soleil déjà chaud. J’étais certain qu’il m’avait entendu approcher mais il ne bougea pas. S’il voulait que je joue les voyeurs, je n’allais pas le décevoir. Le cuissard descendu au plus bas des reins découvrait la naissance du sillon inter-fessier. Son ...
... dos nimbé d’une légère couche de sueur rayonnait. Ses cuisses négligemment écartées m’apparaissaient comme une invite.
Trop, c’était trop tentant. Je m’avançai, je me baissai. Ma main droite se posa timidement au-dessus de son genou, remonta lentement le long de sa cuisse gauche. Aucune réaction de sa part sinon un imperceptible frémissement de sa peau. Devant cette approbation tacite, ma dextre s’enhardit, franchit la lisière du cuissard. Du bout des doigts, elle accéda à l’entrecuisse, longea celle-ci effleurant au passage les bourses. Elle suivit ensuite la raie culière bien marquée par le moulant lycra et empauma une fesse compacte.
Je sentis celle-ci se contracter sous ma main. Une seconde, je pensai « Tu as été trop loin, trop vite ! Tu vas te faire jeter ! » La seconde suivante, alors que son souffle se déréglait, il ouvrait plus largement ses jambes en repliant la droite. Ce qui eut pour effet de soulever son bassin. Le lycra, ainsi sollicité, se tendit, supprimant le creux où le bout de mes doigts s’était égaré, épousant comme une seconde peau les deux globes jumeaux et plus bas les deux boules jumelles. Offrande à ma concupiscence. Incitation à porter ma main en ces lieux.
Mais j’étais irrésistiblement attiré par son dos, lisse, lumineux. Par la rigole dessinée par sa colonne vertébrale. Par ses hanches subtilement évasées. Je laissai libre cours à mes désirs. Tombant à genoux, je lâchai mes mains qui, telles deux chiens courants, explorèrent cette parcelle ...