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S'endormir dans le métro
Datte: 16/09/2019, Catégories: fh, inconnu, train, volupté, massage, nopéné, Humour Auteur: Macapi, Source: Revebebe
... Le traître ! Il savait exactement ce qu’il faisait. Il ne voulait apparemment pas être le seul à profiter du frottement des tissus. Il voulait que je m’excite moi aussi, comme cela, il garderait le contrôle. Et mon plan dans tout ça ? Oublié le plan, dès que mon clitoris commença à se durcir sous le contact dur de son membre, je ne pus m’empêcher de me laisser aller à ce plaisir. Je dus même retenir un cri sur le coup. C’est alors que je me rendis compte que tout ce temps-là j’avais mouillé à force de me frotter à lui, que j’avais juste envie de lui, une envie sauvage qui me traversait le ventre en une flèche acérée jusqu’au creux des reins. Je ressentais maintenant toute la présence de son pénis. Je souhaitais le faire entrer en moi, mais je ne sentais que sa forme au travers de quatre couches de tissus (trois s’il n’avait pas de slip). Et c’était trop. À chaque instant, je me retrouvais mon dos tout contre lui, le bout de son gland qui butait contre mon clitoris. Ou était-ce la base ? Je n’arrivais toujours pas à être fixée sur la position insolite de son membre dans son pantalon. Mon désir montait. Il me pressait contre lui. Je sentais ma culotte trempée entrer à l’intérieur de moi, et ma jupe qui commençait à en faire autant. Sa dureté me masturbait aussi sûrement que s’il n’y avait eu aucune barrière. Il semblait connaître mon corps. Il vibrait maintenant contre mes fesses, preuve que ça lui faisait aussi de l’effet. Je n’avais plus la lucidité de m’en réjouir. ...
... J’essayais seulement de ne rien laisser paraître de mon plaisir aux passagers alentours. J’étais de plus en plus excitée, et lui aussi. Son torse se raidissait contre mon dos. Son souffle était devenu court et il avait rapproché sa tête de la mienne. Il était tout près de moi. J’aurais presque pu l’embrasser. Le plaisir était presque insoutenable. J’avais peine à retenir mes gémissements et à garder les yeux ouverts. Je ne savais plus si c’était mes hanches qui bougeaient ou lui qui me balançait sur ses cuisses. J’avais perdu toute notion d’espace. J’aurais à cet instant voulu me perdre dans ses bras, dans sa bouche, crier mon orgasme face à des murs vides. Mais j’étais bel et bien dans un wagon de métro. Et mon orgasme était proche, si proche, je ne savais plus ce que je faisais. Mes yeux déjà se perdaient. Le train repartit alors d’un coup sec. Nicolas et moi fûmes déstabilisés et nous nous séparâmes malgré nous en tentant de garder l’équilibre. Il se redressa et me tendit une main. Sans réfléchir je la pris et m’en servis pour me relever. Il m’attira face à lui et sa bouche pris possession de la mienne. Ce fut un baiser sauvage, un ballet fougueux de nos langues, un concert de gémissements étouffés. Il me serra fort contre lui. Je tremblais. Je pleurais. Le plaisir m’envahissait. J’aurais aimé en cet instant précis sentir son pénis en moi. J’ouvris les yeux et je ne vis que ses yeux à demi-révulsés et je compris qu’il avait joui lui aussi. À la station suivante, il ...