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Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... avec curiosité. Elle était restée debout, tenant de sa main droite son voile sous son menton pour qu’il ne glisse pas et libère sa tête; la main gauche, quant à elle, était restée ballante à ne rien faire. Je m’approchais d’elle et tendit la main pour qu’elle lâche les bouts du haïk qui le retenais sur sa tête. Elle fit non de la tête, mais avant même que ma main ne touche la sienne, elle desserra ses doigts et laissa le tissu glisser le long de son dos, libérant ainsi une longue chevelure noire corbeau tressée grossièrement et encore toute humide du bain qu’elle avait pris tantôt. Les femmes qui allaient au hammam, attendaient de rentrer chez elle pour se sécher les cheveux, se coiffer et se maquiller, en attendant l’arrivée du mari, à qui toute la cérémonie était destinée. Ma pochette surprise me réservait une vision des plus agréables. Je me disais que si le reste de la tête et du corps étaient à l’image de sa chevelure, je venais de décrocher le gros lot. Mais pour le confirmer, il me fallait maintenant me débarrasser de la voilette qui soustrayait son visage à mes yeux. Je tendis mes deux mains pour la lui enlever. Elle ne voulut pas que je m’en occupe; elle le fit elle-même et en une fraction de seconde, elle défit le nœud qui la tenait derrière sa nuque et offrit à mes yeux émerveillés, un superbe visage de madone. Elle devait avoir environ trente ans. Elle était brune – une vraie brune au teint mat – avec un visage ...
... rond, des joues de poupée et une petite bouche entourées de la plus merveilleuse paire de lèvres que je n’avais eu à admirer dans ma jeune vie de mâle. Des lèvres pleines, comme des fruits bien mûrs – des cerises dont elles avaient la couleur - superbement ourlées et légèrement avancées comme pour quémander un baiser. Des lèvres que je voulais déjà embrasser et croquer pour en connaitre le goût et tester leur fermeté. Baya était restée debout face à moi. Elle ne disait absolument rien – je venais de me rendre compte que je n’avais pas encore entendu le son de sa voix – et se contentait de me regarder de manière presque ironique et provocante. Comme si elle me disait : « mon salaud, tu ne t’attendais pas à ce que je sois aussi belle ! » - Tu es vraiment superbe ! Est-ce que le reste de ton corps est du même acabit ? Tu ne veux pas enlever ton voile ? Elle me regarda encore un moment, comme si elle pesait le pour et le contre de la proposition que je venais de lui faire, puis d’un geste gracieux, elle fit passer toute la pièce de tissu par-dessus sa tête – elle tenait par un élastique autour de sa taille – et resta avec une robe en coton de couleur orange, qui s’arrêtait juste au dessous de ses genoux. C’était vraiment une belle plante : de taille moyenne et merveilleusement proportionnée ; avec une poitrine ferme et arrogante, bien que de taille modeste. J’étais sûr qu’elle ne portait pas de soutien gorge, tant ses tétons étaient ...