Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... voile. Moussa non plus
d’ailleurs, mais pour lui, c’était moins grave, puisque ce qu’il aimait par-dessus tout chez une
femme, c’était son côté callipyge (c’est-à-dire avec de magnifiques fesses et par extension, une
femme avec des formes très prononcées). Et même sous le haïk, on voyait que Djamila était
plantureuse et avait un superbe fessier.
A l’époque, on disait entre garçons, quand on avait affaire à des femmes voilées que l’on draguait,
qu’on avait affaire à de véritables pochettes surprises : on ne savait jamais, qui se cachait sous
la blancheur immaculée du voile et sur quoi on allait tomber. Avec Baya, c’était bien de surprise
qu’il s’agissait : tout ce que pouvais voir c’étaient ses magnifiques yeux noirs – non maquillés -
et un sublime mollet tout blanc et superbement galbé qu’elle exhibait avec un art consommé de la
provocation, à chacun des pas qu’elle faisait. Quelque chose pourtant me disait que cette femme
devait être exceptionnellement bandante. Peut-être à sa démarche ondulante ; peut-être à la manière
dont elle tenait son voile sous le menton, pour qu’il ne s’échappe pas : tout en élégance ; peut-
être aussi à sa manière directe et effrontée de nous regarder Moussa et moi. Si j’avais eu à
choisir, mon choix se serait porté sans aucune hésitation sur Baya. Le hasard ayant bien fait les
choses, je me décidais à entrer en scène pour participer à la faire évoluer.
Ayant compris le plan d’attaque de mon frère ...
... – il s’agissait pour lui de séparer les deux femmes
pour pouvoir s’occuper pleinement de Djamila, - je fis la proposition de montrer à Baya la deuxième
copie du livre qui se trouvait dans la chambre du fond.
- C’est une très bonne idée ! répondit Moussa. Comme cela toutes les deux pourront profiter du
livre, sans avoir à le faire passer de l’une à l’autre. Vas-y frérot, montre lui tout ce que savait
faire notre bon Cheikh Nefzaoui.
Il y eut un petit moment de silence chez Baya, que je croyais être de la gêne. Cela m’avait rendu
hésitant sur la manière de m’y prendre avec la femme. Ce fut Moussa, avec son sans gêne légendaire,
qui me montra la voie à suivre Il prit Djamila par la main et, sans autre forme de procès –et
surtout, sans qu’elle ne protestât, l’entraina derrière le comptoir, en lui disant :
- Installe-toi, pendant que je ferme la porte du magasin.
Djamila obéit sans rien dire, pendant que mon frère alla fermer la porte du magasin et installa sa
fameuse petite pancarte qui indiquait : « Je reviens dans une heure ». Il la plaçait, sur la vitre
de la porte d’entrée, chaque fois qu’il était occupé, à l’intérieur du magasin avec une dame. Je
pris Baya par la main et l’entraînai vers le fond. Elle opposa une toute petite résistance – qui
m’obligea à tirer un peu plus fort sur son bras - et puis elle se laissa faire et se dirigea presque
toute seule, vers le canapé installé tout au fond de la petite pièce. Je la regardais ...