Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
« Comme chacun sait, les hommes jaloux peuplent villes et campagnes. Ils oublient que les femmes
parviennent toujours à leurs fins. Par-delà les murs, les mers et les montagnes»…
« Mon cher époux ! Tu crois que c’est en m’enfermant que tu m’empêcheras de te tromper ? […] Sache,
mon mari, que ta surveillance n’assure en rien ma fidélité. Si je le veux, je peux te tromper, à ta
barbe»
Nora ACEVAL, Contes libertins du Maghreb
C’est en lisant le recueil de contes quelque peu grivois, qu’avait publié en novembre 2008 Nora
Aceval El Khaldia, auteure française née en 1953 dans la région de Tiaret en Algérie, que m’est
revenu en mémoire tout un pan de ma jeunesse. C’était surtout les histoires du livre qui se
déroulaient dans des hammams pour femmes ou qui y faisaient allusion, qui m’avaient rappelé
l’exquis parfum d’érotisme intimement lié à ce lieu, d’où je voyais sortir, surtout les samedis
après-midi (veille de la journée hebdomadaire de repos qui était encore le dimanche, à cette époque
là) un chapelet de femmes - voilées ou pas - qui venaient de quitter le hammam d’à côté de la grande
librairie tenue par mon frère aîné.
Le hammam pour femmes a toujours été pour moi un lieu mystérieux et merveilleux qui titillait mon
imagination de jeune adolescent, en pensant à tous ces corps de femmes nus entrain de se baigner,
s’épiler, se parfumer et se faire belles pour leurs maris. Je fantasmais beaucoup en regardant ces
femmes qui ...
... passaient devant la librairie, laissant derrière elle cette odeur si caractéristique de
vapeur d’eau et de savon, de propre, et pour certaines, de parfums traditionnels orientaux – à base
de musc ou d’ambre.
Mon imagination – déjà très débridée – m’emmenait vers des mondes de beauté et de plaisirs
érotiques, remplis de corps nus de femmes lascives, offerts à ma luxure et à mon bon plaisir. Chaque
fois que je voyais une de ces femmes sortir du hammam, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer son corps
– blanc, propre, sans aucune trace de poil, préparé pour être offert la nuit venue, à un homme –
certainement son mari – qui allait en prendre possession. J’étais fortement émoustillé – une manière
polie de dire que je bandais comme un cochon - rien qu’à l’idée que cette femme qui passait devant
moi, sans même me lancer un regard, ne pensait en fait qu’aux moments de plaisir qu’elle allait
offrir à son mari. Et que, peut-être elle allait elle aussi prendre son pied, si elle avait la
chance d’avoir un époux compréhensif, qui ne soit pas qu’un mâle prétentieux, imbécile et égoïste.
Il y avait de tout dans ces femmes qui quittaient le hammam : des jeunes et des moins jeunes ; des
femmes seules et des femmes venues en groupes ; celles qui portaient le haïk traditionnel
(magnifique voile blanc, que certaines femmes portaient avec un art consommé de la séduction) et
d’autres habillées à l’occidentale; des femmes pressées de rentrer à la maison et ...