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Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... d’autres qui traînaient sur le chemin du retour à la maison, en faisant du lèche-vitrines. Parmi toutes les femmes qui fréquentaient le hammam du quartier, il y en avait deux qui se singularisaient très nettement et qui avaient attiré mon attention et ma curiosité. Elles faisaient partie de celles qui portaient le voile traditionnel (le merveilleux haïk M’rama typiquement algérois, blanc, en satin ou en soie, qui laissait subrepticement apparaître le mollet de celle qui le portait, ce qui titillait la libido de tous les hommes qui la mataient sur son chemin) et qui trainaient longuement avant de rentrer chez elle. C’était la deuxième fois qu’elles entraient dans la librairie et passaient beaucoup de temps à entre les rayons à chercher des livres tout en discutant très longuement avec mon frère Moussa. Déjà la première fois, il les avait traitées avec beaucoup d’amabilité, bien qu’elles n’aient acheté qu’un tout petit cartable d’écolier. Moussa était de deux ans mon aîné; à cette époque, il venait de boucler ses vingt six ans. Il avait commencé par être enseignant, après avoir suivi une formation à l’école normale supérieure. Mais très vite, il avait abandonné l’enseignement, qu’il trouvait trop barbant, pour ouvrir et gérer une grande librairie dans le quartier. Moi, j’étais sur le point de terminer une licence en économie, et j’espérais décrocher une bourse pour une post-graduation en France. En attendant, tous les soirs ...
... et les week-ends j’aidais Moussa à la librairie. Lui et moi formions un binôme très complémentaire. Nous nous entendions très bien, y compris pour ce qui concernait les filles. La faible différence d’âge entre nous, faisait que nous étions plus des amis que des frères. Il y avait entre nous une complicité évidente. Nous draguions même ensemble - c’était surtout lui qui draguait et me faisait parfois profiter des ses conquêtes - sans tenir compte de cette pudeur hypocrite qui interdisait à un garçon d’une famille de faire quoi que ce soit « d’impudique » devant un proche. Nous n’en étions pas encore arrivés au point de partager la même femme, mais nous ne nous gênions pas pour tirer nos conquêtes dans le même endroit, et au même moment. Nous avions d’ailleurs aménagés un lieu de « débauche » dans un local libre au fond de la librairie, où – quand la chasse était bonne pour l’un ou l’autre, ou pour les deux à la fois – nous prenions quelques moments de plaisir. Nous y avions installé un grand canapé et un lit de camp qui devenaient nos champs de bataille. …/… Deux Samedis de suite, je surpris Moussa entrain de discuter un long moment avec les deux femmes voilées qui étaient entrées dans la librairie, en sortant du hammam. La première fois, je n’y avais pas prêté beaucoup d’attention. D’autant qu’en sortant, j’avais vu que l’une d’elle avait acheté un petit cartable d’écolier, destiné certainement à son fils. Mais la deuxième fois, ...