Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Humour
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... j’avais remarqué
que la discussion des deux femmes avec mon frère durait plus que nécessaire, s’agissant de clientes.
De temps en temps, je voyais Moussa qui jetait un regard vers moi, comme s’il réfléchissait à
quelque chose qui avait une relation directe avec moi. En plus, il avait ce regard du chasseur sur
le point d’att****r une proie.
Le salaud, me dis-je, il vient de faire une touche ! Ma curiosité fit que je me rapprochais pour
mieux voir et entendre ce qui se tramait. J’entendis clairement prononcer – en arabe :
- Le mien est beaucoup plus grand que celui-ci ! Il est aussi grand que celui d’un âne !
(En’t‘aa‘i kbir bezzaf a‘ala ‘hadha ! ki t‘aa lahmar !)
J’entendis les deux femmes – des fantômes blancs, dont je ne voyais rien de précis, si ce n’étaient
deux silhouettes informes emprisonnées dans de la soie blanche – glousser comme des dindes, n’osant
pas rire franchement à la remarque obscène de mon frère. En m’approchant, j’avais vu que Moussa
avait ouvert un livre que je reconnus tout de suite, parce que c’était un livre licencieux, que la
censure avait miraculeusement laissé passer entre les mailles, d’habitude imperméables, de ses
filets. Il s’agissait d’un récit érotique – « Le jardin parfumé » de Cheikh Nefzaoui - écrit en
Tunisie au début du seizième siècle et qui, en plus du texte, comportait des illustrations sans
équivoque.
Moussa était entrain de montrer aux deux femmes les images de positions sexuelles ...
... que décrivait
l’auteur et avait ainsi très fortement attisé leur curiosité. Elles riaient maintenant aux éclats,
sous leurs voilettes qui ne laissaient voir que leurs immenses yeux noirs. Je m’approchais pour
mieux voir, et, ave le secret espoir de participer à la discussion et …à plus, si affinité. Je
connaissais trop bien mon frère pour ne pas avoir deviné qu’il était entrain de dérouler un plan
qu’il avait concocté depuis sa première rencontre avec le due, le samedi dernier. A ses yeux qui
brillaient et au rictus qu’il avait sur les lèvres, je savais qu’il venait de ferrer le poisson. Il
ne s’adressait en fait qu’à une seule des deux femmes – la plus grande et celle qui, sous son haïk,
semblait la plus plantureuse des deux. Et je connaissais la préférence de Moussa pour les femmes
bien en chair. Il avait donc fait son choix, et me laissait la deuxième femme. Cela faisait partie
de nos accords tacites : quand l’un d’entre nous choisissait le premier une proie, l’autre acceptait
le choix et devait se contenter du lot de consolation ; si lot de consolation, il y avait.
Je me mis donc à accorder un intérêt particulier à la deuxième femme – elle s’appelait Baya (alors
que sa compagne avait pour doux nom Djamila). Elle avait de magnifiques yeux. C’était la seule
chose- avec le mollet droit - que je pouvais distinguer nettement. Tout le reste était caché par la
soie blanche du Haïk. Je ne savais absolument pas ce qui se cachait sous le ...