À cocu, cocu et demi
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
2couples,
extracon,
cocus,
jalousie,
dispute,
noculotte,
intermast,
Oral
pénétratio,
champagne,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... de rire.
— Petite coquine ! Je me souviens aussi de ton petit maillot deux pièces qui te couvrait à peine… J’en avais même fait la réflexion à Carole : « Tu as vu comme Nathalie est super sexy avec son maillot minimaliste ? » Elle m’en avait fait une vraie crise de jalousie. Elle était furieuse.
— Je ne m’imaginais pas que ce maillot t’avait fait un tel effet, me dit-elle en minaudant. Je ne me doutais pas non plus qu’il avait déclenché une crise de couple.
Nathalie était plus désirable que jamais, lascivement étendue sur le canapé, sa robe si négligemment retroussée, ses seins offerts comme deux beaux fruits, son sexe nu et sans défense. Tout était pour moi provocation, incitation à la débauche, et l’eau me vint à la bouche plus que jamais.
— Tu es si sensuelle et tellement désirable que je n’en peux plus. Viens dans la chambre maintenant, Nath. Je te désire comme un fou !
Elle se leva lentement, s’approcha jusqu’à coller sa poitrine nue contre mon torse et s’accrocha à mon cou de ses deux bras puis, les lèvres à deux centimètres des miennes, elle murmura :
— Non, pas dans la chambre…
— Mais où alors ? Le canapé sera un peu étroit, non ?
De plus en plus chatte et se frottant contre moi, elle continua :
— Je veux que tu me baises ici, sur le tapis.
— Sur le tapis ? m’exclamai-je, étonné par cette idée que le trouvais saugrenue. Ça ne va pas être très confortable.
— Mais ça sera tellement plus excitant…
— Comme tu voudras. Mais attends que ...
... j’enlève ta robe. Je te veux complètement nue.
Elle ne m’en laissa pas le temps et s’agenouilla d’abord afin de déposer un baiser sur ma bite, qui était plus tendue que jamais.
— Non, me susurra-t-elle, je veux que tu froisses ma robe, que tu la souilles… Je veux que tu me baises avec… que tu me violes comme une chienne !
Puis elle s’allongea sur le dos langoureusement, écarta largement les jambes et retroussa lentement cette robe, objet de tous mes fantasmes, jusqu’à découvrir encore ses lèvres intimes.
— Qu’est-ce que tu attends pour sauter ta Nathalie ? me lança-t-elle pour me défier. Elle n’attend que ça…
Puis sur le ton du chuchotement elle continua :
— Je veux sentir ta grosse queue en moi !
Son langage, toujours plus cru, échauffait de plus en plus mes sens, tandis que l’adjectif « grosse » qu’elle attribuait à ma verge flattait mon ego de mâle. Sans la faire plus attendre (on ne fait jamais attendre une jolie femme) je m’étendis sur elle et présentai ma bite contre son sexe trempé et brûlant de son désir. Puis je m’enfonçai en elle, lentement, de peur de lui faire mal. Précaution bien inutile quand on sait que son vagin dégoulinait de sa cyprine. Elle ferma les yeux en poussant un soupir de satisfaction. Je fis quelques va-et-vient en elle, puis je ressortis ma verge et la guidai pour la faire glisser sur ses lèvres intimes. Je voulais ainsi l’agacer, l’exciter et amener son désir au paroxysme. Ce qui ne manqua pas.
— Viens ! Viens en moi ! me ...