1. À cocu, cocu et demi


    Datte: 15/09/2019, Catégories: 2couples, extracon, cocus, jalousie, dispute, noculotte, intermast, Oral pénétratio, champagne, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... Pourtant, cela m’excitait de plus en plus et m’incitait même à employer la même vulgarité :
    
    — Tu suces mieux qu’une pute, lui dis-je sans ambages. J’ai bien failli perdre connaissance…
    — Carole ne fait pas les pipes aussi bien ?
    — En fait, tu sais… je crois qu’elle n’a jamais vraiment aimé ça.
    — Pourtant, avec Julien, elle va devoir s’y mettre. Parce que lui, il en redemande ! Si je l’écoutais, je le sucerais trois fois par jour !
    — La salope ! pensai-je tout haut, m’imaginant la scène.
    — Oui, mais maintenant c’est match nul, un à un… Nous sommes deux salopes ! dit-elle en riant. Tu n’crois pas ?
    — Coquine !
    
    Soudain poussé par de violents désirs de viol, je glissai brutalement ma main sous sa robe. Consentante, Nathalie répondit immédiatement en écartant généreusement les cuisses. Je la pénétrai de nouveau de mon index, bientôt accompagné de mon majeur. Entre-temps, elle avait repris sa masturbation, lentement, mais avec d’amples mouvements.
    
    — Je n’en peux plus, Nathalie. Tu m’as tellement excité que je sens que je vais faire une bêtise, lui déclarai-je dans un sursaut de conscience.
    — Aurais-tu encore des scrupules ? me dit-elle en riant.
    — Des scrupules ? Bien sûr que non. Au contraire, je te désire comme un fou et…
    — … et tu as envie de me baiser. Et alors, où est le problème ?
    — Eh bien, je dois te dire que je n’ai pas de préservatif à la maison. Évidemment, je n’avais pas prévu…
    — Je m’en fous ! J’assume toutes les conséquences ! coupa-t-elle.
    — Et ...
    ... si tu tombais enceinte ?
    — Je prends la pilule.
    
    Elle relâcha ma verge, se laissa retomber sur le dossier du canapé et releva complètement sa robe, exhibant impudiquement son intimité à mes volontés. Son sexe nu, où s’affairaient toujours mes doigts impatients, était complètement trempé de sa cyprine. Les yeux clos, le visage rayonnant de bonheur et semblant dans un état second, elle s’offrait à moi.
    
    — Moi aussi j’ai envie de toi, murmura-t-elle dans un souffle. Tu me rends folle, Antoine !
    
    Puis, rouvrant les yeux, elle me susurra :
    
    — Enlève ton pantalon maintenant, beau mec. Je veux te voir nu !
    
    Touché par ce « beau mec » qui ne faisait que renforcer mon désir, je me levai, me déchaussai et me débarrassai vite de ce pantalon désormais inutile.
    
    — Pendant que tu y es, enlève aussi ta chemise.
    — Madame est exigeante !
    
    Je déboutonnai alors ma chemise, laissant petit à petit découvrir mon poitrail. Quand je la jetai au sol, je n’avais plus sur moi que mon boxer d’où sortait ma bite en pleine érection.
    
    — Tu es pas mal, me dit-elle. Grand, mince, l’allure sportive, exactement comme j’aime les hommes. Tu es aussi beau que pendant nos vacances à Royan, l’an dernier.
    — Ça alors, j’étais loin de me douter que tu me matais à ce moment-là… Idiot que j’étais, je n’avais même pas remarqué.
    — Te mater, c’est beaucoup dire. Disons que j’ai été séduite par le beau mec en maillot de bain sur la plage… Sauf qu’alors tu ne bandais pas tant, continua-t-elle en éclatant ...
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