À cocu, cocu et demi
Datte: 15/09/2019,
Catégories:
2couples,
extracon,
cocus,
jalousie,
dispute,
noculotte,
intermast,
Oral
pénétratio,
champagne,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... merveilleux moments, tandis que Julien passait de plus en plus de temps avec Carole. Pour autant, je ne délaissais pas mon épouse non plus, ce qui eut pour effet de considérablement accroître mon activité sexuelle et même mes performances. Sous l’influence positive de son amant, ma femme développa également sa pratique de la fellation et commença à y prendre un plaisir certain, pour mon plus grand bonheur. Cependant, durant cette période, nous continuions à nous comporter en couples adultérins, nous rencontrant séparément. Mais tout changea lors du réveillon suivant.
Ce soir-là, nous avions décidé de fêter la nouvelle année tous les quatre ensemble. Pour l’occasion, Nathalie avait revêtu sa fameuse robe sexy avec laquelle elle m’avait si bien aguiché la première fois, tandis que mon épouse, elle, s’était parée de sa robe la plus suggestive. De couleur beige, légère et vaporeuse, elle remontait au-dessus du genou et découvrait généreusement ses épaules et son dos. Avec de fins petits escarpins assortis, elle était à croquer et aussi désirable que Nathalie était sensuelle.
Ce soir-là, de couples adultérins nous devînmes couples échangistes : l’une après l’autre, les femmes se partagèrent entre les deux hommes. Un tirage au sort désigna ma femme comme la première victime des mâles, et elle se montra réellement douée pour nous satisfaire ...
... tous les deux en même temps. Puis ce fut au tour de Nathalie, qui se montra non moins habile pour nous donner du plaisir à Julien et à moi, sous l’œil amusé de mon épouse. Nous découvrîmes ainsi les sensations que procure le partage de son conjoint avec d’autres. Pour ma part, quand ma Carole faisait l’amour avec Julien, j’éprouvais un curieux sentiment où la jalousie se mêlait à une terrible excitation. Plus je voyais ma femme prendre du plaisir avec lui, plus j’avais envie de la baiser, sans ménagement, comme une catin qu’on aurait payée pour ça. J’en devenais fou.
Bien sûr, nous n’en restâmes pas là, et nous organisâmes bientôt tous les quatre de plus en plus de soirées de partage toujours plus chaudes. Le rituel était toujours le même : une fois les enfants couchés et après nous être assurés qu’ils dormaient, nous nous enfermions dans la chambre des parents et nous baisions toute la soirée, jusqu’à épuisement des ressources masculines, tout cela sous le regard indifférent de notre chat.
Plus tard, Carole et Julien nous avouèrent avoir déjà eu des idées échangistes et avaient même imaginé nous faire partager leur bonheur. Nathalie, elle, bénissait son ordinateur d’avoir eu la bonne idée de tomber en panne un beau soir d’avril. Quant à moi, j’avais assez d’amour pour aimer deux femmes, et j’étais devenu le plus heureux des hommes.