Avec ascenseur
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... lorsqu’ils nous écoutent ? Est-ce qu’ils baisent, ou bien ne sont-ils que des auditeurs assidus à la recherche d’une excitation ?
— Viens sur moi, dis-je à Lise qui me pompe avec envie.
Elle m’écoute et me chevauche dans un mouvement si naturel que ma bite disparaît dans sa vulve. Ma cavalière est une connaisseuse. Elle sait comment onduler sur ma queue et faire que chaque millimètre de ma tige soit au chaud, massé, caressé par des muscles qu’elle semble contrôler à sa guise. J’adore ces mouvements lascifs qui annoncent la suite. Une suite où la cavalière se baise en claquant ses fesses contre mes cuisses. Elle s’agite. Se donne du plaisir. Elle me sait d’une résistance à toute épreuve.
Elle est belle. Sa longue chevelure colle à son visage et elle la repousse d’une main impatiente. Car elle veut me voir, elle veut partager ce moment où notre jouissance va converger. Mais c’est pour plus tard. Pour l’instant, moi je regarde ses seins battre la mesure.
Et ce mur qui tire mon regard. Un mur où, derrière, nos voisins écoutent probablement. C’est dingue, mais finalement Martine a raison. Se savoir écouté. C’est étrange. Notre intimité est réelle. On ne nous voit pas, on nous entend. Mais la cloison doit leur filtrer les bruits délicats, les grognements indistincts, les clapotis, tout ce qui fait que le sexe n’est pas qu’un contact, une érection, une éjaculation.
Mais je peux peut-être améliorer…
D’un coup de rein, je me soulève. Une reptation sur le lit et, ...
... dans un mouvement d’une puissance qui étonne ma cavalière, je me lève. Je me lève avec Lise dans les bras, toujours chevillée sur ma queue et qui instinctivement m’entoure le cou de ses bras ainsi que ses cuisses autour de ma taille.
Oh, je ne ferais pas des kilomètres ainsi. Je n’ai pas la carrure suffisante. Mais un, non deux, mètres suffisent pour que la commode, qui est justement contre ce satané mur, reçoive une partie de mon fardeau. Je le dépose au mieux. Ma queue ne quitte pas le nid douillet alors que Lise se relâche. Le mur sert d’appui à son dos. La commode sert de siège. On la dirait construite à ma taille. Debout face à ma chérie, il me suffit de bouger les reins pour la baiser.
Et je la baise. À nouveau, je la possède. De l’autre côté, ils doivent entendre et certainement reconnaître le bruit sourd que la commode et le dos de Lise transmettent au mur.
— Putain que c’est bon. Tu aimes ?
Je reconnais qu’en temps normal je ne chercherais pas à parler, mais je me sens l’âme d’un metteur en scène. Film érotique à titre privé. Badinage de cul à destination des voisins.
— Oh chéri, c’est fantastique. Tu es dur comme du bois. Continue. Continue.
Combien de temps avons-nous baisé ainsi, ponctuant nos ébats de gémissements, de grognements, d’encouragements que moi seul sais destiner à d’autres que nous ? À d’autres peut-être, mais qui participent aussi à notre excitation. Lise se prend au jeu. Alors qu’elle se caresse le clitoris et qu’elle sent venir la ...