Avec ascenseur
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... jouissance, elle me prévient :
— Amour, amour, je viens, je viens. Il faut que tu…
Que je jouisse. Oui, que je crache mon foutre en même temps. Si je suis rapide la première fois, c’est le prix à payer pour me rendre maître de mon corps, tantra inné, qui nous apporte cette communion des corps et de l’esprit lorsque nous jouissons ensemble.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
D’accord, je fais le cabot et force la mesure en poussant ce cri de bête, mais je pense à mon auditoire.
Eh mec, complice par la pensée, tu bandes ?
La soirée et le repas se passent normalement. Mais une fois au lit, alors que je viens d’éteindre la lampe et que Lise vient se caler contre moi, je ne peux m’empêcher de lui relater, au moins en partie, ma découverte des propriétaires. Je ne parle pas du mur. Je ne parle pas des conseils de Martine. Je ne parle pas des confidences sur leurs jeux sexuels. Mais je parle de l’amant et de mon impair avec le mari qui a découvert ainsi son infortune. Je termine juste en disant :
— J’ai compris que la voisine n’est pas un modèle de vertu. Tu te rends compte. À son âge !
— Quoi son âge ! On vit plus vieux, avec ses inconvénients et ses avantages. C’est connu.
— Et tu mets quoi dans les avantages ?
— Mais le sexe ! Amour. Le sexe ! Quand j’aurai son âge, j’espère que tu me baiseras encore. Enfin si tu ne te lasses pas de moi.
— Jamais. Jamais. Nous serons des petits vieux libidineux.
Elle rit.
— Mais ce ne sont pas des petits vieux. Elle ...
... est belle femme et lui. Lui, Marc, je te souhaite d’être aussi bien que lui.
— Aurais-je un concurrent à l’étage ?
— Idiot. À moins que tu me délaisses.
— Tu sais, plaisanterie mise à part, j’ai bien l’impression que Martine me faisait des avances.
— Alors si tu cèdes à ses avances, essaie de négocier une diminution de loyer. Un bon coup comme toi ! Ça ne serait que justice. Il faut savoir se sacrifier.
Je mets quelques secondes pour réaliser ce qu’elle vient de me dire. Je vais parler, mais Lise dort déjà. Sa respiration est régulière. Je sens son corps se relâcher.
Je reconnais bien son sens de l’humour. Pourtant ! Pourtant ! Elle paraissait sérieuse dans cette dernière remarque. Demain je lui demanderai ce qu’elle voulait dire. Mais non, je ne vais pas lui demander des explications. Je serais ridicule.
Le matin, rien ! Je me dégonfle. Elle plaisantait sûrement.
Lise part à son travail. Je m’installe devant mon ordi. J’entends le voisin partir. La femme va-t-elle faire venir son amant ? Je me surprends à surveiller les bruits dans l’escalier. Rien, juste l’aspirateur du ménage.
Mon téléphone sonne. Correspondant non identifié, mais je ne peux pas prendre le risque de ne pas répondre même si c’est pour de la pub. Peut-être un client !
— Oui. Louis Bad… à l’appareil.
— Louis. Bonjour, c’est Martine.
— Oh. Bonjour, comment allez-vous ?
J’attends qu’elle me parle d’hier soir. De notre concert en « rut majeur ». Mais non.
— Je vais à la piscine entre ...