Avec ascenseur
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... suivant du regard, conservant mon vit dans sa main pendant que je m’installe. Les cuisses sont déjà ouvertes et la main me guide. Je tombe. Le gouffre est sans fin. Les parois sont humides et elles m’enveloppent de leur douceur.
Voilà, je suis en elle. Elle m’est grande ouverte. Elle est à moi, rien qu’à moi. Aucun autre homme ne peut me la prendre. Elle m’aime. Martine a tort. En tout cas, nous n’avons pas besoin d’artifices pour baiser et jouir. Pas comme vous ! Écoutez, écoutez comment un jeune couple se donne !
Entendez-vous ma vigueur ? Nos chairs qui claquent ? Le clapotis de ma queue qui pistonne ma femme ? Vous voulez nous entendre ? Écoutez alors !
Une sorte de frénésie me prend. Un peu comme si j’étais en représentation, ajoutant des spectateurs au jeu de l’amour. Je baise Lise. Je la travaille. Je la pistonne.
— Putain que c’est bon, dis-je. Tu aimes ?
— Oui, oui, je te sens, tu es gros, dur, comme j’aime.
— Tu aimes ma queue ?
— Oh oui, tu le sais bien.
— Caresse-toi les seins. J’aime quand tu le fais. Oui, comme cela. Tu es belle. Je t’aime.
— Moi aussi, mon amour.
— Tu aimes quand je te baise ?
— Oui. Tu sais bien.
— Dis-le-moi ? Ça m’excite.
Jamais je n’ai demandé ce genre de chose à Lise. Mais elle ne dit rien. Elle me regarde, mais son regard est trouble. Ses mains caressent ses seins et triturent les tétons.
— Oui, j’aime quand tu me prends.
Son regard change. Elle me fixe. Elle me défie.
— Bourre-moi…
Ah ce regard ...
... chargé de plaisir.
— Baise-moi… Enfile-moi… Prends-moi…
Pourquoi suis-je si excité ? Pourquoi tout me semble plus fort, plus chaud, plus sexe ?
— Je viens. Je viens.
C’est trop rapide, mais que c’est bon !
— Oui, mon amour, jouis en moi. Je te veux. Donne, donne.
Je m’effondre à côté d’elle. Je suis en sueur. Un ange chargé d’amour, mais les ailes maculées de sperme passe au-dessus de nous. Lise se tourne vers moi.
— Merci mon Amour. Je t’aime.
Ce sont des paroles de miel qu’elle me susurre à l’oreille. Ces paroles-ci sont pour moi, rien que pour moi. Si vous écoutez, pervers vous n’avez entendu que « l’écume » de ce qui nous unit. Le reste, l’avez-vous oublié dans vos labyrinthes érotiques ?
Elle est contre moi. Une main caresse ma poitrine. Elle descend. Mon ventre. Mon pubis. Mon sexe.
— Oh, tu bandes déjà ! Coquin.
Elle ajoute avant de ramper et porte sa tête vers mon ventre. Sa bouche s’empare aussitôt de ma verge, bâton pollué de nos liqueurs, mais qui n’effraient pas ma Lise. Mon gland est le premier à ressentir la chaleur de ses lèvres. Des lèvres qu’elle sait faire progresser le long de ma tige, chêne plus que roseau, avec des racines sous forme de deux boules qui déjà se rechargent.
— Putain, ce que tu suces bien !
Si vous avez raté le premier acte, au moins voici le début du second.
Je pense, alors que juste en face du lit, le mur que je sais trop mince pour vraiment protéger notre intimité semble me défier.
Que font-ils ...