Un certain dimanche
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
hotel,
pénétratio,
Humour
cocucont,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... vous !
Ensuite, sans que j’esquisse le moindre geste de refus, il me retourne. Je me laisse faire, puis il me prend en levrette. Puis il recommence son infernale opération de pitonnage, à vouloir m’envahir de son énorme queue. Oui, il me baise, encore et toujours !
Haletante, je le supplie :
— Moins fort, André ! Moins fort !
— Pourquoi ?
— J’en peux plus ! C’est trop… c’est trop… puissant !
— Oh non, ma chère, je vais vous faire découvrir d’autres vrais orgasmes !
— Pitié !
— Absolument pas !
Et sans égard pour ma frêle personne, il continue à me prendre encore plus fort, au point que je manque de m’évanouir sous cette charge insensée ! Je n’ai jamais connu une telle chose ! C’est à la fois incroyable et pénible ! J’ai déjà eu des orgasmes, mais là, c’est l’Himalaya ! Comme si je décollais vers la lune ! Je comprends à présent pleinement l’expression du septième ciel !
Je me sens comme une poupée de chiffon entre ses bras, une poupée qui jouit, qui n’arrête pas de jouir ! Je suis prise dans diverses positions, sans cesser de jouir encore et toujours ! Puis mon patron finit par se laisser aller, inondant mon vagin de litres de sperme !
Je suis sans souffle, les bras en croix, rompue, brisée. Il me faut de longues minutes avant de revenir à moi. Puis tous les deux nus, nous discutons. Me caressant, il soupire :
— Dommage que je ne vous ai pas rencontrée plus tôt…
— Ah bon ?
— Oui, c’est vous qui seriez ma femme et je n’aurais pas de soucis de ...
... couple ! Remarquez, Sylvie, mes soucis de couple m’ont aidé à faire plus amplement votre connaissance…
— On peut le dire comme ça, en effet…
— Je suppose que vous n’avez pas trop l’intention de divorcer prochainement ?
Cette question me surprend beaucoup ! Il dit ça sérieusement ou quoi ? Je bafouille :
— Euh… n-non… pas vraiment…
— Dommage.
Me redressant un peu, je tente de couper court :
— Un divorce à vos torts vous coûterait très cher.
— Je sais. Mais je peux vérifier si ma chère et tendre moitié ne vagabonde pas de son côté.
— Vous croyez que…
— On ne sait jamais, et quelque part, ça m’arrangerait.
— Je veux bien croire…
Sans que j’aie le temps de réagir, il m’embrasse. Je me laisse faire. Une fois nos lèvres décollées, il reprend la parole :
— Bon, je sens qu’une certaine Sylvie va avoir prochainement une promotion, je vais avoir un mal de chien à me passer à présent de vos services.
— Vous ne comptez quand même pas faire ça au bureau !?
— Et pourquoi pas ?
— Ça va jaser ! Et ça va vous mettre dedans pour votre éventuel divorce.
Amusé, il secoue la tête :
— Ah la la ! Décidément, les femmes sont très pragmatiques, ce n’est pas la première fois que je m’en rends compte. Rassurez-vous, chère collaboratrice très proche, je ne tiens pas à briser votre ménage. Je préfère nettement une maîtresse heureuse qu’une femme qui regrette d’avoir brisé un ménage.
Je fronce des sourcils :
— Vous êtes en train de me dire quoi, là ?
— Je suis en train ...