Un certain dimanche
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
hotel,
pénétratio,
Humour
cocucont,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... sperme se repend en moi, et pas qu’un peu ! Quelle étrange sensation d’être inondée par un autre homme que le sien ! Il est en train de me faire quoi, mon patron ? Se déverser de plusieurs mois de frustration ? En tout cas, il jouit longtemps, longuement, j’ai même l’impression que ma chatte va déborder, tellement qu’il me met le paquet !
Puis nous nous apaisons, lui qui s’est vidé, et moi qui récupère de ma jouissance un peu honteuse. Peu après, mon patron s’excuse d’avoir été si rapide, mais qu’il compensera ensuite. Puis nous commençons à discuter un peu de tout, et finalement, il aborde le sujet de sa femme. Il était temps, je suis plutôt venue pour qu’il m’en parle, et non pour qu’il me saute impunément.
— Pour tout vous dire, Sylvie, je suis sur le point de divorcer.
En règle générale, mon patron me vouvoie, il est très vieille France sur certains côtés, même s’il m’a tutoyée tout à l’heure dans le feu de l’action. Compatissante, je demande :
— Ah bon ? Ça va si mal ?
— Disons que ce n’est plus la joie ! J’ai la nette impression qu’elle me prend pour un chéquier ambulant. Si encore, ça en valait le coup au lit, mais même pas !
Tandis qu’il parle, il me prend la main et il la pose carrément sur sa bite avachie. Doucement, je commence à branler son sexe mou, et assez vite, la chose se redresse de tout son volume. Sous les doigts, je me rends compte de la différence entre celle de mon mari et celle de mon patron. C’est assez impressionnant !
— Par ...
... contre, si vous étiez ma femme, je n’aurais même pas idée d’aller voir ailleurs !
— André, je parie que vous dites ça à toutes les femmes avec qui vous couchez…
— Non, non. Vous, vous avez quelque chose en plus, et vous avez un sacré potentiel. Je le sentais confusément, surtout durant la dernière sortie avec le CE, mais maintenant, j’en suis certain.
— Ah bon ? Uniquement parce que j’ai écarté les jambes ?
— Mais non, Sylvie ! Vous avez… comme un rayonnement en plus, je ne sais pas comment le dire, et c’est pour cela que je ne voulais pas vous lâcher. Et j’ai encore moins envie de laisser tomber, surtout depuis que nous sommes ici, pour ce que vous savez…
Je détourne la conversation pour m’enquérir de sa vie de couple, mais il semble bien, à ses réponses désabusées, que ce soit le point mort pour sa femme comme pour lui. Quelques instants plus tard, alors que sa verge était bien dure, il reprend son côté directorial et m’ordonne :
— Bon, vous n’êtes pas ici que pour jouer à la conseillère conjugale…
— Pourtant, c’était le but de votre appel… Non ?
— Franchement, Sylvie, vous y avez cru ?
Il me dispense de répondre en guidant ma tête vers le bas afin que je le suce, ce que je fais durant un petit moment. Je reconnais que, vu le machin, ce n’est pas facile ! Peu après, il m’arrête :
— J’ai trop envie de vous prendre !
— Ah… et comment ?
Il me guide et une fois que je suis allongée sur le dos, il se recouche sur moi. Sans plus de préambule, il met sa grosse ...