1. Un certain dimanche


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, hotel, pénétratio, Humour cocucont, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... queue à l’orée de ma petite chatte. J’en frémis, même si je connais déjà la bête. Mon patron me confie :
    
    — Vous êtes si serrée que j’ai l’impression de prendre une jeune fille !
    — C’est normal, vous en avez une beaucoup plus grosse que mon mari…
    — Ah bon ? Et ça vous fait quel effet ?
    — Disons que… disons que ça change…
    — En bien ou en mal ?
    — Hmmm… plutôt en bien, je l’avoue…
    
    Assez fier de lui, il s’introduit sans trop d’effort en moi et me baise à nouveau. Cette façon un peu rude me plaît, mais je sens que je ne l’accepterai pas tous les jours. Néanmoins, il est clair et net que ça me procure plein de plaisir, tellement plein de plaisir qu’il ne me faut pas bien longtemps pour jouir à nouveau ! C’est dingue quand même ! Je pense que ça doit être dû à l’attrait de la nouveauté et surtout au fait que c’est la première fois que je trompe mon mari, qu’il est au courant et qu’en plus, j’ai sa bénédiction ! Alors, je ne cherche plus à comprendre, je m’abandonne à mon plaisir et à son désir…
    
    Soudain, je sens comme quelque chose d’étrange dans l’air. J’ouvre les yeux. Me surplombant, mon patron me regarde intensément :
    
    — Vous êtes prête, Sylvie ? Je vais vous montrer comment jouir vraiment.
    — Je jouis déjà bien, vous savez…
    — J’ai vu, et j’ai entendu, mais vous pouvez mieux, nettement mieux, je vous le garantis. Accrochez-vous, car je vais vous montrer comment jouir à fond ! Et se faire bien baiser !
    — Vous vous vantez ou quoi ?
    — Vous m’en direz des ...
    ... nouvelles… Après…
    
    Je ne comprends pas où il veut en venir, mais je sens que je ne vais pas tarder à le savoir ! Puis il recommence à me prendre, mais en accélérant de plus en plus, en tapant de plus en plus fort au fin fond de ma vulve ! Et là, je ne comprends pas du tout ce qui m’arrive, je commence à gémir, à crier, à jouir encore et encore, de plus en plus fort ! C’est trop, je lui crie :
    
    — Stop ! Arrêtez, arrêtez, j’en peux plus !
    — C’est justement dans ces moments-là que c’est encore meilleur !
    — Non, non, non !
    
    Mais il n’arrête pas, et je sens que je passe à une étape supérieure dans la jouissance, une vague encore plus puissante me submerge, je crie :
    
    — Ah… Aaah… non !
    — Ah si, ma belle salope ! Tu vas découvrir les joies des grosses queues qui bourrent à donf !
    
    Puis il me défonce de plus belle ; je crie, je hurle, j’halète, je jouis plein de fois, par paliers, ayant à chaque fois l’impression que mon cœur va exploser, que mon corps va éclater dans tous les coins et recoins de cette chambre d’hôtel ! J’ai l’impression que tous les atomes de mon corps se désagrègent, valsant sur tous les murs, le plancher, le plafond !
    
    Puis après la tempête, le cyclone, vient le calme, le repos. Je suis alanguie, brisée, repue, le corps comblé, l’esprit ailleurs…
    
    Brisant le son du silence, mon amant me dit :
    
    — Je savais que ça allait être quelque chose que de vous baiser !
    — Ah… euh… oui…
    — Mais ce n’est pas fini ! Vous êtes trop bonne ! Je veux pouvoir profiter de ...
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