1. Un certain dimanche


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, hotel, pénétratio, Humour cocucont, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... côté, je ne sais plus trop sur quel pied danser, alors je laisse aller le cours des choses…
    
    Un dimanche en début d’après-midi, alors que nous sommes à la maison, le téléphone sonne. Ma femme, qui était juste à côté, décroche. Elle hausse des sourcils en entendant son interlocuteur, puis elle pose sa main sur le bas du combiné, me demandant :
    
    — C’est André, mon patron ! Je fais quoi ?
    — Tu réponds, tout simplement. Tu ne vas quand même pas lui raccrocher au nez ?
    
    Faisant au début la moue, elle dialogue avec son patron, puis son étonnement augmente, elle répond par onomatopées. Au bout d’un certain temps, elle finit par lâcher une phrase plus longue :
    
    — Écoutez, je vous rappelle dans cinq minutes, pour vous dire quoi… oui… c’est ça… oui, André, à tout de suite… Oui, sans faute.
    
    Puis elle raccroche, un peu rouge. Assez intrigué, je lui demande :
    
    — Il veut quoi, ton patron ? Surtout un dimanche !
    
    C’est alors qu’elle me répond spontanément :
    
    — Je me demande si ce n’est pas moi qu’il veut…
    — Ah bon ? Explique…
    
    Sylvie réalise qu’elle a parlé un peu trop vite, elle rougit, puis après s’être fait une contenance, elle explique d’une voix un peu hésitante :
    
    — Ben, il me demande si je ne peux pas le rejoindre, car il a des gros problèmes avec sa femme et qu’il ne connaît personne d’autre avec qui en parler. Sauf moi…
    
    Peut-être est-ce la bonne occasion pour qu’elle franchisse le pas… Je m’efforce de rester calme quand je lui réponds d’une voix que ...
    ... j’espère détachée :
    
    — Tu peux y aller si tu veux, mais je pense qu’il a envie de te sauter…
    — Ça, je sais…
    — S’il a vraiment envie de te baiser, tu me sonnes et je viens te chercher.
    
    Cette simple phrase de ma part la détend visiblement, elle acquiesce :
    
    — Ok comme ça… Tu me déposes ?
    — Tu ne prends pas ta voiture ?
    — Je préfère te savoir pas loin… au début… Je… je préfère que tu attendes un peu, on ne sait jamais. Tu comprends, Pascal ?
    — Je comprends…
    
    Aussitôt, elle appelle son patron pour lui dire qu’elle accepte de venir. Puis elle raccroche d’une main assez nerveuse. Prestement, elle part dans le dressing pour en revenir après en petite jupe et chemisier blanc. Une tenue à la fois, sage mais quand même un peu aguichante. Dix douze minutes plus tard, je la dépose devant sa boîte, une grosse voiture noire, une BM, est présente sur le parking désert. Ma femme se penche sur moi, déposant un petit baiser :
    
    — À tout à l’heure ! On fait comme on a dit ?
    — Oui, je reste un peu sur place, on va dire au moins dix minutes, parce qu’on ne sait jamais, puis passé ce délai, je rentre. Après, n’oublie pas de me téléphoner si ça ne va pas. Ça te va comme ça ?
    — Ok, on fait comme ça.
    
    D’un pas hésitant, elle s’éloigne de moi puis disparaît dans l’entreprise. J’attends quelques minutes en écoutant une cassette audio en sourdine, puis soudain je vois ma femme à travers une fenêtre, elle me fait visiblement signe que tout va bien. De ce fait, je décide de rentrer à la ...
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