1. Un certain dimanche


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, hotel, pénétratio, Humour cocucont, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... m’ôte tous mes vêtements, sans me les déchirer, bien que ce n’était pas l’envie qui lui manquait ! Pour ma première fois, mon premier adultère, j’aurais aimé au moins quelques petits préliminaires, mais vu son état d’excitation, il n’en peut plus du tout ! Je suis à la limite d’être étonnée qu’il n’ait pas déjà fait dans son caleçon !
    
    À peine suis-je allongée toute nue sur le lit qu’il se couche sur mon corps, et qu’il cherche à me besogner, sa queue de cheval se fraye un chemin entre mes cuisses mi-ouvertes. Diverses fois, son gros machin cogne à ma porte, mais pas moyen qu’il s’introduise, même juste un peu. Ça commence à m’effrayer, qu’est-ce qui va m’arriver si ce gros machin entre moi ? Ma vulve se fendra en deux ? Mon vagin explosera ? Je lui fais part de mon appréhension :
    
    — Monsieur André, vous en avez une tellement grosse qu’elle n’arrive pas à rentrer !
    — Sachez, chère Madame Sylvie, qu’elle a toujours réussi à faire son petit trou.
    — Lequel de trou ? Le vrai ou celui que vous avez fabriqué en perforant votre partenaire ?
    
    Cette remarque un peu acide le fait rire de bon cœur, il se relève un peu. Pour ma part, je me détends un peu. Soudain, mon patron lance son bassin en avant, poussant fortement, et à ma grande stupéfaction, son énorme engin entre en moi, mes lèvres distendues enrobant ce pieu de chair, ce qui déclenche aussitôt une sensation étrange qui me laisse au bord de l’évanouissement, mais aussi de la jouissance ! Ma chatte s’ouvre ...
    ... irrémédiablement, un énorme tube s’enfonce en elle, me forçant, me remplissant, une sourde et impérieuse jouissance monte en moi !
    
    Je n’aurais jamais cru ! À la fois ce plaisir qui me coupe le souffle et cette chose trop grosse qui m’envahit ! C’est quand même un sacré morceau qui est entré en moi !
    
    Tandis que mon patron s’introduit en moi, je ne sais pas trop quoi faire de mes mains. Finalement, je les pose sur ses épaules, et je commence à le caresser. Il me sourit, ravi que je ne décide de ne pas jouer les étoiles de mer. Son sourire me détend, je deviens plus réceptive à mon corps.
    
    Mon amant donne un ultime coup de reins, je sens sa bite taper au fin fond de ma grotte. Puis à ma grande stupéfaction, je sens une puissante vague monter en moi, monter irrésistiblement, un tsunami, et sans que je n’aie pu faire quelque chose, je jouis sans retenue ! Dans mon brouillard, j’entends que lui aussi se laisse aller :
    
    — Ah… Je… je te balance toute ma sauce ! Bien au fond ! Oh oui !
    — Oui ! Non ! Oui !!
    
    C’est alors que je songe que ni lui ni moi n’avons pensé à mettre un préservatif ! Même si je prends la pilule, nous aurions dû faire attention, mais la situation est nouvelle pour moi, et tout ça m’excite beaucoup plus que je ne l’aurais imaginé ! Je suis même très étonnée d’avoir joui aussi vite. L’impériosité de son désir ? La nouveauté ? Le gros diamètre de sa bite ? Le côté un peu sordide de la situation ?
    
    Une autre vague survient, plus petite, quand j’ai la certitude que son ...
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