1. Un certain dimanche


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, hotel, pénétratio, Humour cocucont, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Aujourd’hui, cet après-midi, en quelques heures, ma garce de femme aura été baisée deux fois d’affilée par deux hommes ! Quelle étrange sensation que de pénétrer dans sa femme alors qu’elle a toujours la chatte bien ouverte et humide !
    
    Nous faisons l’amour comme jamais, un maelstrom des sens. Le cocufiage a du bon !
    
    Les jours passent, les nuits aussi (torrides, je ne vous dis que ça), mais je n’ai pas plus de détail quand je tente de lui arracher les vers du nez (nez qu’elle a fort joli, je précise). Et si j’insiste un peu trop, elle se ferme comme une huître. Donc je finis par ne plus trop y faire allusion. Néanmoins, je suis presque certain que son patron et elle ont remis le couvert entre-temps !
    
    Une bonne semaine s’écoule, longue, lente, émaillée néanmoins par des nuits assez chaudes, puis soudain, un soir, elle m’avoue :
    
    — J’ai peur de te le dire…
    — Il n’y a pas de problème, c’est moi qui t’incitais à franchir le pas…
    — Je sais, mais… enfin…
    
    C’est alors qu’elle m’avoue la vérité qui était un tantinet différente de ce que je croyais.
    
    — Je ne sais pas par quoi commencer…
    — Je t’écoute.
    — Ben voilà, André en a une très grande et une très grosse ! Un machin énorme…
    — Ah ok…
    
    Elle respire un grand coup puis poursuit :
    
    — Et il bandait comme un cheval, ça se voyait sans problème à travers le tissu de son pantalon. J’étais quand même gênée, même si j’étais flattée de faire tant d’effet…
    — Tu es une femme très bandante, tu sais…
    — Et je ne te dis ...
    ... pas l’engin quand il a ôté son pantalon, son slip était nettement trop petit !
    
    Je suis content qu’elle me raconte enfin cette séance, mais la comparaison ne tourne pas à mon avantage ! Elle continue sa narration :
    
    — Je savais qu’il l’avait grosse, mais pas à ce point !
    — Et ensuite ?
    — Il avait tellement envie de me baiser qu’on ne peut pas dire qu’il se soit attardé sur les préliminaires ! À la hussarde qu’il a été, ce salaud !
    — Hmm-hmm…
    — Bref, il a voulu me pénétrer rapidement, tellement il avait envie, mais il avait du mal à entrer… Tu comprends, il l’avait tellement grosse !
    
    Oui, je sais qu’il l’a grosse, nettement plus que moi, mais ce n’est pas une raison de me le préciser toutes les dix secondes ! Mais comme elle est plongée dans sa narration, elle ne fait pas attention à moi. Les yeux au plafond, elle semble revivre la scène :
    
    — Il m’a demandé si j’étais prête. À ma grande surprise, j’ai répondu que oui, même si j’avais quand même une certaine appréhension.
    — Tu as finalement accepté…
    — Ben, il fallait se décider… tu imagines le truc de ne pas… enfin… consommer… on était arrivés à l’hôtel, il n’en pouvait plus et moi, j’étais excitée par toute cette situation !
    — Hmm-hmm…
    
    C’est alors que Sylvie décide de tout me déballer, assez crûment, je dois le reconnaître…
    
    Voici ce qui s’est passé, vu par les yeux de ma femme :
    
    Mon patron ne fait pas de chichis : une fois la porte refermée, il se déshabille en un rien de temps, puis avec dextérité, il ...
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