Voyage en train
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
train,
volupté,
pénétratio,
fdanus,
Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe
... rapide, il ouvre la fermeture éclair de son pantalon, déboutonne la ceinture et met à nu son sexe qui se redresse d’un seul coup et a pris des proportions gigantesques, enfin presque !
Marie-Claude le regarde avec envie et, sur l’ordre de Claude vient s’empaler sur le membre dressé avec un feulement de bête fauve. Les deux gémissent à l’unisson, trouvant un bonheur suprême à cette pénétration. Ils vibrent à l’unisson, réglant les coups de reins sur le bruit du train :« Oui encore, oui encore, oui encore… ».
Le freinage du train les surprend en plein effort. C’est déjà la banlieue de Lyon, vite, vite qu’ils en finissent sinon tout cela n’aurait servi à rien ? Claude se met debout, soulevant sans peine Marie-Claude toujours empalée sur sa queue. Elle s’accroche à ses épaules et il la plaque contre la vitre du compartiment. Il continue à la baiser, ses coups de reins sont de plus en plus violents. Plus le train freine, plus il accélère ses coups de queue. Elle hurle de plaisir, gémit, secoue la tête dans tous les sens et finalement explose dans un orgasme titanesque qui la prend des doigts de pieds jusqu’au cerveau, où s’allument des millions de petites étoiles, comme un feu d’artifice intérieur. Le plaisir la parcourt par ondes successives qui ne finissent pas. Claude, qui l’a suivi de peu, se répand en elle et a l’impression de se vider complètement. Jamais auparavant il n’avait fourni une telle quantité de sperme, Ses testicules se contractent pour mieux se vider et ...
... il a l’impression que son sperme ressort par la bouche de Marie-Claude tellement l’odeur du sexe est forte dans la petite pièce.
Ils redescendent doucement sur terre en retrouvant leur souffle. Marie-Claude, toujours empalée sur le sexe de Claude, ressent une bienheureuse fatigue, une sorte de béatitude que rien ne pourrait détruire, sauf un coup de frein plus brutal que les précédents et qui la fait redescendre brutalement sur terre. Le train entre en gare et les premiers voyageurs qui vont descendre à Lyon commencent à passer dans le couloir. Elle repousse Claude et descend de son perchoir redevenu bien modeste d’ailleurs ! Vite il faut qu’elle se rhabille. Elle attrape son pantalon l’enfile en réajustant comme elle peut sa culotte. Le sperme lui coule sur les mains et elle suce ses doigts machinalement ce qui la fait frémir à nouveau. Ah, si elle avait eu le temps, elle aurait fini par le dompter ce jeune amant ! Le tout est de les épuiser une bonne fois et après ils deviennent plus malléables. La femme est supérieure à l’homme sur le long terme, elle en est sûre !
Elle boutonne rapidement son chemisier en se trompant d’ailleurs, mais elle n’a plus le temps maintenant. Tant pis. Claude, galant malgré tout, a descendu sa valise et lui fait une bise tendre, pleine des regrets sur ce qu’ils auraient pu encore faire dans ce wagon. Mais Marie-Claude doit descendre là, on est venu la chercher.
— Au revoir Claude, tu as été merveilleux, je ne t’oublierai jamais. Ce jour ...