Voyage en train
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
train,
volupté,
pénétratio,
fdanus,
Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe
... épuisée. Ça peut durer une heure voire plus certains jours. Le deuxième est un père de famille d’environ 45 ans, pas très rapide mais un véritable artiste. Il est capable de me maintenir au bord de l’orgasme des heures durant tout en me baisant par tous les orifices de mon corps. Quand il m’encule je deviens complètement folle et il fait de moi ce qu’il veut, je suis incapable de lui dire non. Le troisième est un retraité pas performant mais pas exigeant non plus. Par contre il sait se montrer très généreux et c’est intéressant surtout en fin de mois !
Claude est estomaqué et il ne peut s’empêcher de lui dire
— Ben ma salope, tu ne t’embêtes pas toi au moins. On peut dire que ton cul est le trait d’union entre les générations.
Il éclate de rire en disant cela, et elle aussi.
Tout en lui parlant, Claude a continué à explorer le corps de Marie-Claude. Le chemisier fermé du départ n’est plus qu’un lointain souvenir, il est largement ouvert sur sa magnifique poitrine. Ses seins sont maintenant entre les mains de Claude qui les pelote avec tout le soin nécessaire. Une large aréole brune entoure les pointes des mamelons qui, sous l’effet de ses caresses, pointent fièrement et sont durs comme de l’acier. Il les pétrit et les serre doucement entre ses doigts ce qui a pour effet de faire gémir Marie-Claude à chacune des pressions qu’il exerce à intervalles réguliers. Chaque fois, elle a l’impression qu’il lui enfonce une aiguille dans le mamelon mais ce n’est pas ...
... douloureux, au contraire. C’est une onde de plaisir qui parcourt ses seins, puis son ventre pour se focaliser à la pointe du bouton qui orne l’entrée de sa vulve. Son clitoris, son bouton d’amour, est gonflé, tendu comme le sexe de Claude, du moins se l’imagine-t-elle puisqu’il ne lui a rien donné à voir ou à toucher encore.
Marie-Claude n’en peut plus, elle veut jouir, sa chatte dégouline d’une liqueur odorante dont l’odeur commence à remplir l’étroit compartiment. Elle veut jouir et le lui dit en haletant les mots plus qu’en les disant :
— Fais-moi jouir, je t’en supplie, tu m’as eue, je suis à toi, mais fais-moi jouir. Aaaah, c’est bon, continue, oh oui encore !
Mais lui ne presse pas, il alterne les caresses, celles qui l’amènent au bord de l’orgasme et celles qui l’en éloignent. Cette science, il l’a acquise à ses dépends et maintenant il veut en tirer profit avec cette fille que le hasard lui a envoyé.
Marie-Claude est affolée par le plaisir lancinant qui vrille son bas-ventre, lui emplit le sexe sans jamais déboucher sur l’orgasme libérateur. Son vagin se contracte au même rythme que les doigts de Claude et son anus fait pareil. Tout son corps bat au même rythme. Sa bouche est sèche à force de respirer par à-coups comme un petit chien, elle lui répète encore et encore :
— Fais-moi jouir Claude, je t’en supplie, je suis à toi, fais ce que tu veux de moi, je t’appartiens, je suis ta reine, ton esclave, Aaah je veux jouir, encore, encore des caresses, là ne ...