1. Voyage en train


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, train, volupté, pénétratio, fdanus, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    Depuis deux heures qu’il était dans le train, Claude somnole en rêvant à ses amours d’adolescent avec sa cousine Chantal, dans la ferme de son oncle en Charente. Pendant tout un été ils avaient joué à papa-maman et bien plus… La bosse qui orne son pantalon est assez parlante. Il a mal à sa queue tellement il bande et son jean ne permet pas beaucoup de mouvement. Mais il n’ose pas se branler dans ce compartiment, le contrôleur venait de passer et il avait failli le surprendre en train de se toucher à travers le tissu. Il verrait après cette gare, si personne ne venait dans le compartiment il se caresserait. Cette pensée le fait sourire et il reprend ses rêveries…
    
    Le train vient de s’arrêter dans une gare de moyenne importance et des voyageurs sont montés en partance pour Lyon ou Paris. La porte du compartiment dans lequel il est installé s’ouvre sur une ravissante jeune fille d’environ 20 ans, blonde, avec un petit nez retroussé. Il a à peine le temps d’enregistrer ces détails que son regard est attiré comme par un aimant vers le chemisier de la jeune fille.Bon sang, se dit-il,je n’ai jamais vu de seins aussi pleins et pointus. Elle n’a pas de soutien-gorge ma parole. Dieu que c’est beau. Et aussitôt il sent une nouvelle fois sa queue bondir dans son jean et heurter la fermeture éclair.
    
    — Vous pouvez m’aider à mettre ma valise dans le filet à bagages, s’il vous plaît ?
    
    La fille a parlé mais il met quelques secondes à réagir tellement il est ému.
    
    — Euh oui, bien ...
    ... sûr, dit-il en empoignant la valise et en la posant sans effort dans le filet au-dessus de lui. Voilà c’est fait.
    
    À cet instant le train redémarre avec une petite secousse qui oblige la fille à se raccrocher à lui pour éviter de tomber. Il la rattrape et son regard tombe sur l’ouverture du chemisier, ce qui lui permet d’admirer deux magnifiques seins fiers et bronzés qui ne demandent qu’à se laisser caresser. Le parfum de la jeune fille lui monte à la tête d’un seul coup et il bégaye plus qu’il n’articule un « Excusez-moi, c’est le train qui… ». Sa phrase reste en suspens devant le sourire de la jeune fille. C’est le même que celui de sa cousine quand elle jouissait dans ses bras.
    
    — Ce n’est pas grave, et merci pour la valise.
    
    Elle s’est assise en face de lui, légèrement décalée de façon à ne pas toucher ses pieds par inadvertance. Elle sort un livre de son grand sac à main et commence une lecture attentionnée sans se préoccuper de Claude qui n’en peut plus dans son jean décidément trop étroit. La couverture du livre est masquée par un couvre-livre et il n’arrive pas à savoir ce qu’elle lit. Il voudrait bien lui parler mais n’ose pas la déranger. Elle a l’air tellement absorbée par sa lecture qu’elle l’intimide. Il reprend donc le fil de ses pensées tout en regardant à la dérobée les pieds de sa voisine. Au bout d’un moment, il est surpris par leur mouvement. La fille les croise, les décroise, les frotte l’un sur l’autre comme si… Son regard remonte le long de ses ...
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