1. Voyage en train


    Datte: 12/09/2019, Catégories: fh, jeunes, inconnu, train, volupté, pénétratio, fdanus, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... jambes bronzées. Des mouvements imperceptibles les agitent, les genoux se frottent, les cuisses se contractent parfois.Non, se dit-il,je rêve, elle est en train de se masturber, comme sa cousine l’avait obligé à faire un soir dans le dos de ses parents devant la télé. Elle l’avait forcé à coincer sa queue entre ses cuisses et, par un lent mouvement de va-et-vient, à se faire jouir au bout d’une bonne demi-heure sans émettre le moindre son ni le moindre mouvement suspect. Il avait profité d’un bruit plus fort à la télé pour lâcher son sperme entre ses jambes et, ensuite, il avait dû s’essuyer avec les doigts que sa cousine suçait voluptueusement.
    
    Ce souvenir avait ravivé son excitation et maintenant il bandait dur comme fer et sa culotte en était humide. Comme si elle avait deviné ses pensées, la fille lève les yeux de son livre et surprend son regard sur son entrejambe. Il rougit violemment et réussit à articuler quelques mots, histoire de sauver la face.
    
    — Votre livre est intéressant ?
    
    Les yeux bleus de la fille sont brillants, un petit air coquin les anime :
    
    — Oh oui, dit-elle en souriant
    — Et de quoi s’agit-il ?
    — Un roman du Marquis de Sade, vous connaissez cet auteur ?
    — Bien sûr, lui répond-il, et c’est lequel ?
    —Justine ou les infortunes de la vertu.
    — Ah oui, je vois dit-il, ce n’est pas le meilleur paraît-il, mais l’histoire de cette jeune pucelle marquée du sceau des putains a quelque chose d’effrayant ou de comique. Cela dépend de l’état ...
    ... d’esprit du lecteur, ou de la lectrice. Qu’en pensez-vous ?
    
    Elle ne répond que par un sourire qui a pour effet de ranimer sa flamme qui s’était un peu calmée durant la discussion. Ce sourire est à la fois angélique et plein de promesses, de sous-entendus.
    
    Il a retrouvé un peu de son sang-froid et, profitant des bonnes dispositions de son interlocutrice il lui demande son prénom :
    
    — Je me prénomme Marie-Claude, c’était le prénom de ma grand-mère.
    
    Il s’enhardit un peu et lui propose de venir s’asseoir à côté d’elle pour lire le livre ensemble.
    
    — Ça me rappellera des bons souvenirs. Ah, au fait, moi c’est Claude, nous avons au moins un point commun !
    
    Ce qui les fait sourire tous les deux.
    
    Elle accepte sans hésiter son invitation et il soulève l’accoudoir placé à sa droite pour lui faire de la place. Maintenant son parfum lui monte à la tête et, avec les secousses du train, leurs jambes se touchent à intervalles régulier et de plus en plus rapprochés d’ailleurs. Malgré l’épaisseur de son jean, il sent la chaleur de ses cuisses, surtout que sa robe légère est remontée assez haut quant elle s’est assise près de lui.
    
    — J’en suis arrivé au chapitre au cours duquel elle est recueillie par les moines.
    — Ah, dit-il, c’est effectivement un passage assez …relevé !
    
    Puis ils se taisent, lisant chacun silencieusement le chapitre en question. Ne sachant pas trop comment placer son bras droit qui le gêne pour la lecture, il l’a posé sur les épaules de Marie-Claude, sans ...
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