Qu'il en soit ainsi
Datte: 11/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
fbi,
collection,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
jeu,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... de mètres, jusqu’à une porte vitrée.
— Tu vois, là, dehors, c’est la rue.
De fait, il s’agit effectivement d’une rue passante et grouillante de monde, comme il en existe dans toutes les villes un peu importantes.
— Et comme tu peux le remarquer, ce n’est pas fermé.
Elle joint le geste à la parole et ouvre la porte. Un souffle d’air chaud me caresse le visage.
— Je sais que c’est compliqué, mais l’émir t’a dit la vérité. Oui, c’est un harem, mais nous sommes toutes ici de notre plein gré, certainement pas des prisonnières. Tu vois, si tu le veux, je me change et on sort. Tu me crois, maintenant ?
De toute manière, je ne me vois pas courir dans la rue.
— C’est bon, je te crois. Mais deux questions encore : ce n’est donc pas un vrai harem ?
— Si, pourquoi ?
— Ça veut donc dire que vous couchez toutes avec l’émir ?
— Pas toutes en même temps, répond-t-elle en rigolant. Mais tous les soirs, il choisit celle ou celles avec qui il va passer la nuit. Mais rassure-toi, pour cela, il faut faire partie de ses compagnes officielles.
— Que dois-je en comprendre ?
— Que tu n’auras jamais à coucher avec lui ! D’ailleurs, si l’envie te prenait de lui tourner autour, nous t’en empêcherions.
— Dans ce cas, c’est bon, je te suis, m’entend-je répondre.
De fait, l’endroit ressemble effectivement à une oasis de calme, de luxe et de raffinement. Colonnades et arcs-boutants de marbre finement travaillé, immenses plafonds en stuc digne de l’œuvre d’art, bouquets et ...
... plantes odorantes, bref, l’idée assez idyllique que l’on se fait d’un harem.
Il y a là une bonne trentaine de filles, visiblement toutes plus ravissantes les unes que les autres. La plus jeune ne doit pas avoir dix-huit ans depuis très longtemps, et la plus âgée n’a sûrement pas la trentaine. Toutes les couleurs de peau ou de cheveux semblent être ici représentées avec un égal bonheur, et tous les types de femmes aussi, de la fragile brindille suédoise jusqu’à la pulpeuse brune orientale. D’après ce que j’en vois, leur seul point commun est d’avoir toutes les cheveux longs, voire très longs.
Moi, avec mes poteaux de cage à serin, mes seins inexistants sur des côtes clairement visibles, mon teint de cendre et mes cheveux ternes, je détonne quelque peu. Aucune d’entre elles ne le relève, se contentant simplement d’un triste sourire plutôt compatissant.
— Avant de te présenter aux autres filles, je vais d’abord te montrer ton nouveau chez toi, ta chambre si tu préfères.
En fait de chambre, il s’agit plutôt d’une alcôve d’à peine quelques mètres carrés. Un grand lit à baldaquin au centre, à droite, une armoire, et à gauche, une coiffeuse avec un grand miroir, le tout en bois précieux. Tout le reste n’est que satin, velours et soie.
— Tu seras bien, ici. Tu verras, le matin, on a une vue splendide sur le jardin. En attendant qu’on t’apporte d’autres vêtements, déshabille-toi, je vais te masser. Ça te détendra.
Là-dessus, elle allonge une immense serviette sur le ...