1. Qu'il en soit ainsi


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, ff, fff, fbi, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral pénétratio, jeu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... lit.
    
    — Pourquoi pas, réponds-je. De toute manière, je suis entre tes mains.
    
    C’est ainsi que je me retrouve nue, entendue sur le ventre, très vite enduite de la tête aux pieds et jusque dans mes endroits les plus intimes d’une huile merveilleusement parfumée. Et les mains d’Aïcha sont délicieusement douces… Par contre, je ne sais pourquoi, une bonne quinzaine de filles se sont rassemblées comme pour assister à la scène.
    
    Terrible. Absolument terrible. Et d’autant plus terrible que je ne m’y attendais pas, et que je n’ai rien senti venir. Non, l’orgasme que je viens de connaître est terrible, il n’y a pas d’autre mot.
    
    Lorsque je reviens dans l’atmosphère, c’est pour entendre une salve d’applaudissements venant des filles derrière moi. Aïcha est toujours à côté de moi, visiblement ravie du petit tour qu’elle vient de me jouer.
    
    — Bienvenue chez nous, Jennifer. Viens, maintenant, je vais te présenter.
    
    ---ooooOoooo---
    
    Au fur et à mesure que les jours passent, ma santé revient doucement, et mes rondeurs réapparaissent. Loin d’être aussi jolie que les autres filles, je suis tout de même redevenue nettement plus regardable…
    
    Les légendes sont nombreuses sur ces harems où les femmes se détestaient, où les plus anciennes ne cessaient de tourmenter les plus jeunes, où les crêpages de chignons étaient incessants, le tout pour un émir éternellement absent.
    
    Là, ce n’est pas le cas, toutes les filles sont charmantes avec moi, elles le sont d’ailleurs également ...
    ... entre elles. Encore quelque chose de surprenant !
    
    Autre point positif, surtout pour quelqu’un d’habitué à un minuscule appart’, le harem est immense. Cinéma au sous-sol, piscine en plein air – raffinement suprême dans un pays où le litre d’eau doit coûter plus cher que celui dusans plomb – palmeraie où il fait bon profiter de la relative fraîcheur lorsque l’envie de s’isoler survient et où, tous les matins, je m’impose une bonne heure de jogging. Comme, parallèlement, je me suis mis aux codes vestimentaires de l’endroit – pour tout vêtement, je ne porte la plupart du temps qu’un foulard de soie plus ou moins transparent, noué négligemment autour de ma taille – le fait de courir seins nus n’est pas toujours facile. Mais, c’est bien connu, on s’habitue à tout, surtout au meilleur, et c’est avec grand plaisir que, peu à peu, je retrouve mon souffle, mon esprit et ma forme.
    
    Bref, à force de massages, de repos, de bains chauds, de hammams, de soins divers et variés, de caresses ponctuées de pas mal d’orgasmes, je suis tranquillement en train de me remettre. Et la passion n’étant jamais bien loin, je me suis remise au dessin.
    
    Il faut dire tout, dans cet endroit, est propice à l’inspiration.
    
    Là, cette grande black – Naomie, si je ne m’abuse – assoupie nonchalamment, totalement nue, sur une montagne de coussins. La seule vue de son sexe totalement glabre et qu’elle exhibe, inconsciemment mais sans aucune pudeur, est une invitation à l’esquisse.
    
    Les deux filles là-bas au ...
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