Qu'il en soit ainsi
Datte: 11/09/2019,
Catégories:
fh,
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amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
jeu,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... désolé, croyez-le bien.
Il a bien de la chance, l’émir. Parce que moi, je n’ai pas la moindre idée de ce qui m’est arrivé et qui me vaut d’être dans ce lit.
— D’après les rares vêtements retrouvés et vous appartenant, il semble que vous ayez perdu au moins quinze kilos. Cependant, les médecins ont dit que vous pourriez bientôt sortir, mais qu’il serait préférable de vous garder en convalescence. À moins que vous ne désiriez absolument rentrer chez vous, vous êtes la bienvenue au palais.
Le choix est vite fait : à Paris, j’ai de nombreux amis mais pas de famille. Dans l’état de délabrement physique dans lequel je me sens, je ne me vois pas reprendre l’avion et rester seule chez moi. Quant à m’installer seule quelque part dans ce pays, c’est hors de question.
— J’aime autant rester ici, réponds-je, péniblement.
— Dans ce cas, je connais un endroit où vous serez choyée. Un endroit hors du temps et des tracas, l’idéal pour vous remettre de vos émotions. Pour la suite…
Je n’entends pas la fin de sa phrase, je viens de retomber dans le sommeil.
---ooooOoooo---
Entre l’hôpital du palais et le palais lui-même, il n’y a que quelques centaines de mètres.
C’est le Cheik lui-même qui a tenu à me montrer l’endroit où je vais passer la convalescence.
Mais à l’instant où il ouvre la porte du lieu en question, je comprends ce que c’est. Un harem ! Et je connais très bien les légendes qui courent sur ce genre d’endroit, d’où les femmes ne ressortent ...
... jamais.
Naturellement, ma première réaction est d’essayer de prendre la fuite. Il m’en dissuade en me retenant, fermement mais sans brutalité, par le bras.
— Du calme, Jennifer. Je ne vous ai pas fait sortir de là où vous étiez pour vous mettre dans une autre prison. Oui, c’est un harem, oui, ces femmes sont mes compagnes, mais ne craignez rien. Voyez, les gardes ne sont pas armés et la porte n’est pas fermée. Regardez, il n’y a même pas de serrure.
Une somptueuse créature vient d’apparaître dans l’encadrement de la porte.
— D’ailleurs, voici Aïcha. Elle sera en quelque sorte votre tutrice, elle va tout vous expliquer.
La fille en question est si belle que je ne peux m’empêcher de la détailler. Elle ne doit pas avoir beaucoup plus de vingt ans et ses cheveux, d’un noir de jais, lui tombent jusqu’au creux des reins. Ses courbes irréelles et sa peau mate sont délicieusement mises en valeur par une sorte de sarouel complètement transparent assorti à un boléro tout aussi transparent. L’ensemble est visiblement conçu pour ne cacher aucun détail de son anatomie, même la plus intime, mais cela semble la laisser totalement indifférente.
— On m’a raconté ce qui t’est arrivé à Al Morrabia, c’est terrible.
Décidément, tout le monde sait ce qu’il m’est arrivé là-bas. Sauf moi.
— En attendant, n’aie pas peur, je vais te montrer quelque chose. Vous permettez, Majesté ?
— Je t’en prie, répond-t-il, tandis qu’elle m’entraîne dans le couloir.
Nous parcourons ainsi une trentaine ...