1. Qu'il en soit ainsi


    Datte: 11/09/2019, Catégories: fh, ff, fff, fbi, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral pénétratio, jeu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... l’émir, qui sont ceux qui sont venus me chercher à la descente de l’avion ? Et pourquoi toutes ces brutalités envers eux ?
    
    Le 4x4 qui m’emmène sur cette piste désormais poussiéreuse est nettement moins luxueux que celui que je viens de quitter. Par bonheur, le voyage ne dure pas très longtemps, un campement, que je qualifierais de berbère si nous étions dans le Maghreb, se dessine à l’horizon.
    
    Une femme, voilée jusqu’aux yeux, m’invite à m’asseoir sur les coussins disposés à même le sol. Puis, sans un mot, elle m’offre un thé, vert comme il se doit et terriblement sucré, à la mode de là-bas.
    
    L’attente n’est pas très longue, un homme arrive dans la tenue classique du roi du pétrole hollywoodien, et c’est au moment de me lever pour le saluer que je me rends compte qu’il a un problème : la tête me tourne, je ne tiens plus mes jambes…
    
    Pas le moindre doute, le thé a été drogué. Je sombre dans le néant.
    
    ---ooooOoooo---
    
    Le silence. Et soudain, le fracas d’une porte que l’on enfonce, des coups de feu, et des hommes en armes qui entrent en trombe dans une sorte de cave.
    
    J’ouvre les yeux, je suis nue, assise sur une planche de bois. À mon poignet, un bracelet de fer relié à une longue chaîne fixée dans le mur.
    
    — Jennifer ?
    
    Je ne sais combien de temps je suis restée inconsciente, mais cela me semble une éternité. Que s’est-il passé ? Que fais-je là, Qui sont ces hommes ? Je n’en sais rien, mais en l’espace d’un instant, je retrouve toute ma lucidité.
    
    — ...
    ... Nous sommes les hommes du cheik El-Jarrabhia… Ça fait presque un mois que nous vous recherchons. Nous sommes venus vous délivrer.
    
    Une vague djellaba sur mon corps nu, un coup de scie sur mes fers, et me voilà libre. Je ne peux marcher, un soldat me prend dans ses bras. Tandis que je sens son corps musclé contre le mien, je me promets de le retrouver un jour. Son heure viendra…
    
    Tandis que le soleil se lève, je vois disparaître dans le lointain ce petit village dont je connais désormais le nom : Al Morrabia.
    
    ---ooooOoooo---
    
    Le palais de l’Émir dispose de son propre hôpital particulier, équipé de tout le matériel moderne. Son peuple bénéficie des mêmes largesses ? J’en doute, mais à cet instant, je crois bien que c’est le dernier de mes soucis.
    
    Dès mon arrivée, ils m’ont mise en soins intensifs, il s’agit d’une question de vie ou de mort tant mon état de santé est préoccupant, m’ont-ils annoncé. Je me remets tout doucement.
    
    Au bout d’une semaine, mon état s’est stabilisé, et l’on m’annonce une visite. Mais qui cela peut-il donc bien être ? Je ne connais personne, ici…
    
    Le type qui vient d’entrer en un grand brun, élégant dans son costume sombre et plutôt bel homme. Il ne doit pas avoir dépassé la quarantaine et, à voir la déférence des personnes qui l’accompagnent, il doit s’agir de quelque qu’un d’important.
    
    — Je suis le cheik Assam. C’est moi qui vous ai fait venir de Paris.
    
    Je tombe des nues.
    
    — Je suis au courant de ce qui vous est arrivé, j’en suis ...
«1...345...30»