L'augure
Datte: 08/09/2019,
Catégories:
fh,
copains,
grosseins,
caférestau,
fête,
toilettes,
vengeance,
dispute,
Oral
init,
portrait,
Auteur: Le père Hamptoire, Source: Revebebe
... je ne lui plais pas.
— T’en as mis du temps !
— T’as bien entendu qu’il est venu quelqu’un !
Elle ressort mon engin. Elle le dégage bien, le manipule, lui fait des petits bisous, lui adresse quelques léchouilles et l’absorbe tout entier. Comme c’est chaud, comme c’est doux, comme c’est bon ! Ça n’a rien à voir avec la veuve poignet ! En même temps elle me pratique un léger massage des testicules. Je serais censé réagir vigoureusement, non ? Eh ben que dalle, l’inertie absolue !
— J’ai du mal, elles sont trop remontées. Allez, laisse-les pendre, décontracte-toi !
— Les… laisser pendre ? Mais comment tu veux que je fasse ?
— Débrouille-toi, je veux des couilles bien pendantes, bien provocantes !
— Mais tu dis n’importe quoi là ?
— Oui…
Et on pouffe de rire tous les deux ; ça me fait du bien. À ce moment, plusieurs voix mâles résonnent dans les lieux et on tente d’ouvrir notre porte. On a tous les deux la main devant la bouche pour s’empêcher de rigoler, on se regarde, nos yeux rieurs qui se rejoignent inaugurent notre complicité.
Elle se met debout, attire ma tête à elle ; pour la première fois de ma vie une fille m’embrasse tendrement tandis qu’au dehors, des hommes inconnus daubent joyeusement sur le PSG. Mes mains osent partir à l’assaut de ses fesses, leur doux confort me surprend. Elles sont pleines et charnues, pas comme je l’imaginais ; au toucher l’effet est saisissant. Mes mains sont pleines du postérieur de Sophie, mes doigts se crispent dans sa ...
... chair tendre, sa langue envahit ma bouche, quel délice ! Derniers bruits d’eau, dernier séchage, dernier claquement de porte, le silence retombe autour de notre refuge…
Sophie a libéré ses cheveux. Ils sont mi-longs, châtain clair, lavés de frais, légèrement flous. Je me prends à scruter le bleu de ses yeux quand elle les lève vers moi, je vois la parfaite rectitude de son petit nez ; ses lèvres restent pulpeuses et douces, même distendues par leur va-et-vient autour de ce gros machin qui n’avait jamais connu aucune femme avant elle. Cette fois je bande : une vraie barre de fer. C’est chaud, c’est délicieux, en même temps sa main tourne autour de la base en serrant légèrement et je me rends compte que c’est exactement ce qu’il me faut.
Elle n’est pas mal du tout Sophie. Un soupçon de maquillage, une coiffure moins passe-partout, des vêtements aguicheurs et on la verrait de loin. Mes mains sont dans ses cheveux mais je ne la dirige pas, elles ne font que suivre le mouvement sa tête. Je la regarde opérer, fasciné. Je dégage ses oreilles, j’avise sur ses tempes des tortillons de petits cheveux follets, c’est adorable, mignon tout plein.
Vous voulez que je vous dise ? Cette fille en connaît un rayon sur les hommes ! Je sens que ça vient, je le lui dis, elle ne fait que lever la tête pour me regarder jouir. Pas besoin de Kleenex, mais j’ignore encore le prix du pain et je ne sais rien du cadeau qu’elle vient de me faire. Elle se relève, me caresse la joue, me donne un ...