1. Arielle


    Datte: 06/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bybabaorum, Source: Literotica

    ... les miens, tu ne serais pas plus avancée, tu sais.
    
    Je lisais la déception sur son visage, comme dans un livre. Je l'aurais presque prise dans les bras, pour la consoler. J'ajoutai :
    
    - Mais, il n'y a pas de problème : je resterai dans la maison. Il y a un match de football que je ne veux pas manquer à la télé. Tu prends tes aises. Les voisins ne pourront te voir si tu te tiens proche de la maison. Je t'apporte une serviette à l'instant.
    
    J'ai déjà décrit la beauté de son sourire, ce qui m'épargnera une seconde description douloureuse (le lecteur sait d'expérience qu'admirer la vraie beauté est d'autant plus une souffrance qu'elle est un ravissement). Et le visage qu'elle me fit voir pourrait m'occuper pendant des heures au clavier. Je me contenterai de dire que j'exècre le mensonge et que j'avais réellement l'intention de voir cette partie... éventuellement. Je m'assurai, en passant par le salon, que le magnétoscope était réglé pour l'enregistrement et la télé, allumée. Le spectacle que je me réservais dans les prochaines minutes était à être apprécié, non pas dans cette pièce, mais à l'étage où des stores baissés me permettraient de voir sans être vu.
    
    À mon retour, elle avait déjà retiré sa robe qu'elle tenait chastement sur sa poitrine (aucun soutien-gorge aux alentours). Elle avait gardé sa petite culotte rouge. Sans un mot, je lui remis la serviette et un pot de lotion solaire.
    
    Je m'éclipsai, montai prendre mon poste, tout en me remémorant le galbe divin de ...
    ... ses mollets bronzés que je venais d'apercevoir.
    
    Dans un premier temps, la jeune femme resta invisible. Le surplomb du toit me la cachait, mais je l'entendais s'affairer. Il y eut un moment où je n'entendis plus rien, si ce n'est ma propre respiration. Il semblait que toute la vie suburbaine était suspendue, tandis que le soleil martelait sans merci le quartier, les toitures, le faîte des arbres, les jardins avec, çà et là, les paisibles cercles et rectangles bleus des piscines environnantes ; même l'éternel vrombissement des tondeuses s'était tu. Il n'y en avait que pour la lumière aveuglante et l'air brûlant qui vibrait. Puis un petit rire gai fusa. Puis le silence à nouveau.
    
    Tout à coup, l'émotion me submergea. Arielle était apparue. Nue. Droite. Statuesque. Cuivrée. Pulpeuse. Reluisante. Éblouissante dans le soleil.
    
    Je vis d'abord ses fesses sombres s'égayer, un peu rondes, tandis qu'elle approchait l'eau à petits pas sautillants, dans un balancement élégant des hanches et des bras. Je m'étonnai de ne discerner que la trace très ténue d'un costume de bain : le hâle était bel et bien uniforme. Je voyais un large dos, une taille bien proportionnée, le profil de son sein qui vibrait comme elle s'avançait. Elle laissa tomber la serviette qu'elle tenait à la main, défit son chignon, libérant de longs cheveux droits qui tombèrent en caressant sa taille. Elle se retourna pour descendre l'échelle. Ses seins glorieux me regardaient, bien ronds comme des pamplemousses, dotés ...
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